Nouveau venu dans la galaxie des commissaires italiens, au milieu des Ambrosio, Montalbano, Palma et Ricciardi, voici le commissaire Soneri.
Celui-ci vit dans la plaine du Pô, ce grand fleuve qui baigne tout le nord de l'Italie, et qui est finalement un personnage à part entière du roman, imposant et énigmatique, d'autant que le roman est organisé autour du rythme de l'une de ses énormes crues.
« Ses recherches le conduisaient toutes vers le Pô, sur cette terre plate où l'on ne voyait jamais le ciel. Et lui ne croyait pas aux coïncidences. »
Une péniche à la dérive et son propriétaire introuvable, un suicidé pas très clair (le frère du disparu), des bateliers mutiques, une petite amie nymphomane, une ambiance à la Simenon, sur fond d'histoires vieilles de cinquante ans, au moment des combats de la Libération opposant fascistes et partisans.
Très bien !
Celui-ci vit dans la plaine du Pô, ce grand fleuve qui baigne tout le nord de l'Italie, et qui est finalement un personnage à part entière du roman, imposant et énigmatique, d'autant que le roman est organisé autour du rythme de l'une de ses énormes crues.
« Ses recherches le conduisaient toutes vers le Pô, sur cette terre plate où l'on ne voyait jamais le ciel. Et lui ne croyait pas aux coïncidences. »
Une péniche à la dérive et son propriétaire introuvable, un suicidé pas très clair (le frère du disparu), des bateliers mutiques, une petite amie nymphomane, une ambiance à la Simenon, sur fond d'histoires vieilles de cinquante ans, au moment des combats de la Libération opposant fascistes et partisans.
Très bien !