Les livres qui ont rejoint ma bibliothèque en Septembre 2...

Par Autantenemporteleslivres
     Les livres qui ont rejoint ma bibliothèque en                     Septembre 2017 (achats).




Salem de Stephen King, Editions Le Livre de Poche, 830 pages.

Résumé:
Comment une petite bourgade du Maine peut elle, du jour au lendemain, devenir une ville fantôme ? Jerusalem's Lot - Salem - n'avait pourtant pas de caractéristiques particulières sinon, sur la colline, la présence de cette grande demeure - Marsten House - inhabitée depuis la mort tragique de ses propriétaires, vingts ans auparavant. Et lorsque Ben mears y revient, c'est seulement pour y retrouver ses souvenirs d'enfance. Mais très vite, il devrait se rendre à l'évidence : il se passe des choses très étrange à Salem. Un chien est immolé, un enfant disparaît et l'horreur s'infiltre, s'étend, se répand, aussi inéluctable que la nuit qui descend sur Salem ...

Le dernier des nôtres de Adélaïde de Clermont-Tonnerre, Editions Le Livre de Poche, 474 pages.

Résumé:

« La première chose que je vis d’elle fut sa cheville, délicate, nerveuse, qu’enserrait la bride d’une sandale bleue… » Manhattan, 1969 : un homme rencontre une femme. Dresde, 1945 : sous un déluge de bombes, une mère agonise en accouchant d'un petit garçon. Avec puissance et émotion, Adélaïde de Clermont Tonnerre nous fait traverser ces continents et ces époques que tout oppose : des montagnes autrichiennes au désert de Los Alamos, des plaines glacées de Pologne aux fêtes new-yorkaises, de la tragédie d’un monde finissant à l’énergie d’un monde naissant... Deux frères ennemis, deux femmes liées par une amitié indéfectible, deux jeunes gens emportés par un amour impossible sont les héros de ce roman tendu comme une tragédie, haletant comme une saga.

Les ferrailleurs, tome 2: le faubourg de Edward Carey, Editions Le Livre de Poche, 400 pages.


Résumé:
Rien ne va plus depuis que le Château de l'extravagante famille Ferrayor a croulé sous l'assaut des objets rendus à la vie. Le jeune Clod, ayant perdu forme humaine, erre de ruelles en échoppes dans une ville ravagée par la crasse et la pauvreté ; sa complice Lucy Pennant, elle, est ensevelie sous les décombres du manoir, où elle fait la rencontre d'une créature aussi monstrueuse qu'attachante. Pourchassés, nos deux héros vont devoir se réunir pour déjouer les plans de Grand-Père Umbitt, qui règne en tyran sur le peuple asservi du Faubourg.

Les anagrammes de Varsovie de Richard Zimler, Editions Pocket, 439 pages.

Résumé:
Pologne, automne 1940 : des milliers de Juifs se retrouvent confinés dans une petite parcelle de la capitale, le tristement célèbre ghetto de Varsovie. Parmi eux Erik Cohen, un vieux psychiatre, contraint de survivre dans un minuscule appartement avec sa nièce et son neveu adoré, Adam. L'hiver est éprouvant : l'hostilité du ghetto où tout manque, le crime omniprésent, la mort qui rôde. Soudain, dans cette ambiance de fin du monde, Adam disparaît. Le lendemain, son corps est retrouvé sans vie et atrocement mutilé au pied d'un des grillages qui clôturent le ghetto. Dans sa bouche, un bout de fil. Quelques jours plus tard, le corps d une jeune fille est lui aussi retrouvé mutilé, de nouveau, l'assassin a glissé un bout de fil dans sa bouche. Tout en Erik crie vengeance : aidé de son ami d'enfance Izzy, une figure haute en couleur, il va s'échapper du ghetto pour mener l'enquête dans un Varsovie spectral, dans lequel les plus basses des pulsions humaines côtoient l'héroïsme et la grandeur. Une odyssée poignante, poétique, époustouflante, racontée par un mystérieux narrateur qui tient le lecteur en haleine jusqu'à la dernière page.

Le chagrin des vivants de Anna Hope, Editions Folio, 412 pages.

Résumé:

Durant les cinq premiers jours de novembre 1920, l'Angleterre attend l'arrivée du Soldat inconnu, rapatrié depuis la France. Alors que le pays est en deuil et que tant d'hommes ont disparu, cette cérémonie d'hommage est bien plus qu'un simple symbole, elle recueille la peine d'une nation entière. À Londres, trois femmes vont vivre ces journées à leur manière. Evelyn, dont le fiancé a été tué et qui travaille au bureau des pensions de l'armée ; Ada, qui ne cesse d'apercevoir son fils pourtant tombé au front ; et Hettie, qui accompagne tous les soirs d'anciens soldats sur la piste du Hammer-smith Palais pour six pence la danse. Dans une ville peuplée d'hommes incapables de retrouver leur place au sein d'une société qui ne les comprend pas, rongés par les horreurs vécues, souvent mutiques, ces femmes cherchent l'équilibre entre la mémoire et la vie. Et lorsque les langues se délient, les coeurs s'apaisent.


La maladroite de Alexandre Seurat, Editions Actes Sud, 110 pages.

Résumé:

Tout commence par un avis de recherche, diffusé à la suite de la disparition d'une enfant de 8 ans. La photo est un choc pour une institutrice qui a bien connu cette gamine. Pour elle, pas de doute : cette Diana n'a pas été enlevée, elle est déjà morte, et ses parents sont coupables. Remontant le temps, le roman égrène les témoignages de ceux l'ayant côtoyée, enseignants, grand-mère et tante, médecins, assistants sociaux, gendarmes... Témoins impuissants de la descente aux enfers d'une enfant martyrisée par ses parents qui, malgré les incitations à parler de plusieurs adultes, refusera de les dénoncer. Ce roman est inspiré par un fait divers récent largement médiatisé car, en dépit de plusieurs signalements, l'enfant n'avait jamais bénéficié de protection. Loin de tout sensationnalisme, l'auteur rend sa dimension tragique à ce drame de la maltraitance.