Le Bon Gros Géant de Roald Dahl, Gallimard Jeunesse
Pour résumer:
«Les hommes de terre ne croient pas vraiment aux géants. Ils pensent que nous n’existons pas.»
Sophie ne rêve pas, cette nuit-là, quand elle est tirée de son lit par un géant! Heureusement, c’est le Bon Gros Géant, le BGG, qui se nourrit de schnockombres et boit de la frambouille. Mais il existe d’autres géants, au pays des géants: des brutes de quinze mètres de haut qui ne raffolent que d’une chose: les hommes de terre. Sophie et son ami le BGG pourront-ils les arrêter? Espérons-le, sinon vous pourriez bien être le prochain à vous faire gober par un affreux géant.
Ce que j’en pense:
Cette année, j’ai fait découvrir à mes élèves Roald Dahl. Ça a été une véritable révélation pour certains! Nous avons donc lu Matilda en lecture offerte puis, ils se sont fait offrir des livres pour leurs anniversaires et nous avons pu lire Sacrées Sorcières. Il y a même eu quelques échanges entre eux. Pour l’année prochaine, Roald Dahl sera de nouveau au rendez- vous mais avec Le BGG alias Le Bon Gros Géant. J’espère qu’ils vont en apprécier la lecture.
Nous suivons donc Sophie, une jeune orpheline qui se fait enlever par le BGG et l’amène dans son monde de géant.
L’histoire qui suit est pleine de rebondissements. Roald Dahl nous transporte comme il sait le faire dans un autre monde. Sophie et le BGG s’entendent à merveille et uniront leurs forces pour empêcher les autres géants de dévorer des enfants.
Les personnages sont emblématiques et majestueux.
Sophie est une petite fille espiègle et très intelligente comme aime à les imaginer l’auteur. Elle est pertinente et pétillante! Je l’adore!
Le BGG est un personnage très original et comme on en croise rarement. Il est attachant et émouvant. Il a aussi sa propre façon de s’exprimer. Roald Dahl adore jouer avec la langue et il s’amuse à inventer des mots, ce qui est original (cela peut aussi être un bon exercice à faire avec des élèves).
L’écriture est super sympa. C’est agréable à lire et efficace. J’ai passé un agréable moment avec ce roman. C’est un vrai plaisir.
Bref:
C’est delexisavoureux!
Si je devais le noter:
Y a pas que moi qui en parle:
Carozine