» – Pourquoi tu ne t’aimes pas ? «
Auteur : Audrey Carlan
Edition : Hugo New Romance
Format : Broché
Prix : 9,95 €
Note : 4/5
Présentation du roman
Le livre
C’est avec plaisir que je me suis procurée ce tome deux. J’avais vraiment hâte de voir où le deuxième contrat de Mia allait la conduire.
Le résumé
Mia se rend à Seattle où elle sera la muse d’un célèbre peintre français.
L’amour sur toile, tel est le titre de l’œuvre du bel artiste avec lequel elle
va partager ce mois qui sera riche en émotions. Il faut dire qu’Alec est surprenant dans
son travail et qu’il a cette manie si sexy d’utiliser des expressions françaises
lorsqu’il s’adresse à Mia.
Mon avis
(attention, risque de spoiler)
L’histoire
Après Malibu, c’est à Seattle que nous retrouvons. Mia ! Alec, un célèbre peintre français l’a choisi pour qu’elle soit sa muse. Ce deuxième tome, très artistique et très doux, est de loin mon préféré (il faut que vus sachiez qu’à l’heure où j’écris ces lignes, j’ai lu les six premiers tomes. Et oui, je suis grave en retard sur mes chroniques !).
J’ai adoré le fait que l’auteure nous montre tout le travail de peintre et d’artiste dont est capable Alec. En plus de la relation que Mia et lui nouerons durant ce mois de Février, on a beaucoup de détail sur ce que fait et sur ce que veut le peintre. Je ne m’y connais pas du tout en toile, mais ce que créé Alec est tout simplement époustouflant. Faire des photos de peintures pour les intégrer à une autre peinture…woah ! Je n’ai eu aucun mal à m’imaginer le résultat. Ce tome-ci m’en a mi artistiquement plein les yeux.
J’ai trouvé que l’histoire était très centrée sur le travail qu’Alec attend de Mia, ne faisant apparaître leur relation qu’en second plan. Ce n’est pas un point négatif, bien au contraire. Ça apporte plus de profondeur à l’histoire, ça nous permet d’en apprendre plus sur Mia, comme si nous étions amies et que nous apprenions à nous connaître au fils des jours.
Les personnages
Alec n’est pas du tout le genre de mec que Mia à l’habitude de rencontrer. Elle a du mal à se faire à son attitude très simple, très «je suis né pour profiter des douceurs de la vie et pas pour me prendre la tête».
Il m’a paru un peu perché, de temps en temps, mais ce n’est pas sa faute. Tous les artistes sont un peu déluré. Il est très professionnel, pouvant passer toute la nuit sur une toile et en commencer une nouvelle le lendemain. On voit que son travail n’est pas seulement ça à ses yeux, mais que c’est pour lui une passion et un réel plaisir.
Petit coup de cœur pour ce second personnage masculin. Wes avait mi la barre haute, mais Alec n’a eu aucun mal à la dépasser. Et en connaissant les quatre prochains calendar boy, je peux d’ors et déjà vous dire qu’Alec est toujours numéro un.
Conclusion
J’ai préféré ce deuxième tome au premier et je continue la saga avec plaisir. J’en attendais seulement un peu plus pour le troisième et, spoiler alert, je n’ai pas été déçue.