L’ennui du mort-vivant : Le vrai con malté de Luc Doyelle

Par Magali @MagaliLafont

Bonjour,

Quand Luc Doyelle s’est enfin décidé à passer son roman en numérique, j’ai voulu l’acheter et bien sûr au lieu de le faire « discretos » j’suis allée me signaler avec un commentaire sur facebook du genre : « Ah Enfin ! Il ne me reste plus qu’à l’acheter ! « . Et là gentiment, le monsieur me l’a offert…ce qui m’impose de le remercier pour son service presse !!

4ème de couverture

Tout le monde a, dans son entourage, un ou plusieurs tueurs en série (serial killers). C’est du dernier chic dans les salons mondains.
Mais connaissez-vous les tués en série (serial killed) ? Ah, on fait moins le malin, hein ?
Vous allez me dire : ça n’existe pas. Personne ne peut mourir plusieurs fois.
Vraiment ?
Laissez-moi vous raconter l’histoire d’un casse-couilles de classe mondiale, un alcoolo de premier ordre, surnommé le vrai con malté.
Peut-il, à l’instar des chats, posséder neuf vies ? Ou s’épuisera-t-il avant ?
Une seule façon de le savoir : se jeter sur « L’ennui du mort-vivant ».
À vos risques et périls.

Mon avis

En mode je sèche pour écrire cette chronique. ;(

J’aimerais vous faire comprendre l’humour du roman avec un article qui en comporte aussi mais je n’ai pas la capacité de l’auteur à faire des jeux de mots.

Si j’étais vous (vu que pour moi c’est trop tard ),  j’éviterais de lire ce roman en buvant mon café…sinon vous passerez en mode arrosage automatique !! … Bon ok, vous en avez une petite idée en lisant la 4ème mais en fait c’est plus subtil (enfin pas tout le temps !! ). D’ailleurs si je devais vous donner un conseil (ce que je ne me permettrai pas bien entendu ) c’est de lire ce roman à voix haute : d’abord ça vous évitera de « cracher de rire » (vu que vous n’aurez rien dans la bouche) mais aussi et surtout de comprendre les subtilités des jeux de mots dont je vous parle

Après il y a l’histoire…ou plutôt l’enquête. On a un peu de mal à s’y retrouver au début mais ça fini par « glisser » tout seul jusqu’au dénouement qui peut paraître à certains capillotracté ( ) quoique tout à fait dans le ton du reste.

Les personnages arrivent à être communs tout en étant atypiques et on les prends tous en sympathie, même Djellaba et Kryptonite (alias le con malté)

En parlant du con malté (que je n’avais pas relevé dans le titre… il faut vraiment que je fasse plus attention ) je me doutais qu’il y avait une référence derrière (oui, oui il ne faut pas se fier aux apparences, je suis sûre que l’auteur réfléchi aux moindre détails). Le pire c’est que je pense que la majorité d’entre vous la connais, mais j’ai encore de nombreuses découvertes livresques à faire….

Vous avez trouvé ?? Non !! La réponse est …. l’inspiration est la-même et le lecteur en profite

Conclusion

Dés que vous êtes allés là (et que vous avez dû faire face à la frustration du « épuisé » ), vous vous précipitez ici pour récupérer « L’ennui du mort vivant : le vrai con malté » et vous vous direz que vous avez bien de la chance.

N’oubliez pas aucune boisson ni alimentation au cours de votre lecture afin d’éviter toutes projections sur votre environnement !!

Bonne lecture ! ❤