Synopsis : De Stockholm à Los Angeles, Stendriëk Börgen, artiste suédois génial et mystérieux, entretient une relation occulte avec Enstenov Khalinek, puissant homme d'affaires aux méthodes discutables. A l'apogée de sa carrière, Börgen dévoile son grand oeuvre, un ensemble monumental de plus de 3 000 toiles occupant la gigantesque Gallery of the Immortality du Titanium Palace de Los Angeles. Börgen et Khalinek jubilent, mais aussitôt surviennent de nombreuses questions : quels liens unissent vraiment les deux hommes ? Comment une telle entente, aussi inattendue que suspecte, est-elle possible ? Quelle est cette étrange matière dont les oeuvres sont faites... ? Anna James, journaliste et critique d'art de haute renommée, se retrouve malgré elle au centre d'une histoire qui dépasse le monde de l'art. Elle va en effet découvrir que, derrière la création et le travail de Stendriëk Börgen, se cachent de sombres vérités...
C'est au cours d'un échange avec Philémon le Bellégard qu'il m'a proposé de m'envoyer son livre en SP. Au vu des avis positifs sur ce livre, j'ai accepté.
Syndrôme de Stockholm c'est l'histoire du peintre Stendriëk Börgen et d'Enstenov Khalinek, puissants d'hommes d'affaires qui le soutient. Après dix années d'absences et de réclusion passées à peindre, il est temps pour les deux hommes de dévoiler au grand public l'oeuvre de Börgen : un ensemble de plus de 3000 toiles. L'excitation est à son comble pour les deux hommes. Oui mais voilà, alors que Börgen et Khalinek jubilent, Anna James, journaliste et critique d'art va s'interroger sur la matière utilisée par Börgen pour peindre ses oeuvres. Elle va, de ce fait, se retrouver malgré elle au coeur d'une histoire qui dépasse l'entendement.
Bien, j'ai lu ce livre il y a un petit moment déjà. Je n'ai pas voulu rédiger ma chronique tout de suite, préférant laisser passer un peu de temps. Parce qu'à tout dire, j'ai refermé ce livre avec un avis très mitigé. En effet, déjà j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire, le début étant vraiment long et surtout sans action. Puis sur les conseils de lectrices, j'ai insisté puisqu'on me promettait un livre coup de coeur. Malheureusement, cela n'a pas été le cas.
Dans un premier temps, j'ai trouvé les personnages plus que désagréables, n'arrivant pas à m'y attacher, même cette journaliste ne m'a pas touchée. J'ai trouvé sa réaction inappropriée. Après, si l'intrigue est intéressante, je l'ai trouvée sous-exploitée. Et surtout, surtout, il m'a manqué de l'action, du suspens. Je m'attendais à frissonner ou angoisser, mais non, rien ! Oui en soi, l'idée de base est gore, mais à aucun moment je n'ai été écoeurée ou même choquée comme j'ai pu lire dans certaines chroniques. Tout au long de ma lecture, je me suis retrouvée spectatrice d'un spectacle mettant en scène la folie d'un homme soutenu par l'avidité d'un autre homme. Et je n'ai pas aimé ce que j'ai vu.
Point positif du livre : l'écriture. Le style de l'auteur est très agréable à lire et c'est çà qui a fait que je n'ai pas abandonné ma lecture.
En conclusion, Syndrome de Stockholm m'a laissée perplexe. Je suis sûrement passée à côté de quelque chose, mais je n'ai pas retrouvé dans ce livre ce que j'avais lu dans les chroniques élogieuses. Alors, peut être que du coup j'en attendais beaucoup trop. Ceci étant, comme tous les goûts sont dans la nature, n'hésitez pas à vous plonger dedans, car une chose est sûre : vous serez surpris !
C'est au cours d'un échange avec Philémon le Bellégard qu'il m'a proposé de m'envoyer son livre en SP. Au vu des avis positifs sur ce livre, j'ai accepté.
Syndrôme de Stockholm c'est l'histoire du peintre Stendriëk Börgen et d'Enstenov Khalinek, puissants d'hommes d'affaires qui le soutient. Après dix années d'absences et de réclusion passées à peindre, il est temps pour les deux hommes de dévoiler au grand public l'oeuvre de Börgen : un ensemble de plus de 3000 toiles. L'excitation est à son comble pour les deux hommes. Oui mais voilà, alors que Börgen et Khalinek jubilent, Anna James, journaliste et critique d'art va s'interroger sur la matière utilisée par Börgen pour peindre ses oeuvres. Elle va, de ce fait, se retrouver malgré elle au coeur d'une histoire qui dépasse l'entendement.
Bien, j'ai lu ce livre il y a un petit moment déjà. Je n'ai pas voulu rédiger ma chronique tout de suite, préférant laisser passer un peu de temps. Parce qu'à tout dire, j'ai refermé ce livre avec un avis très mitigé. En effet, déjà j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire, le début étant vraiment long et surtout sans action. Puis sur les conseils de lectrices, j'ai insisté puisqu'on me promettait un livre coup de coeur. Malheureusement, cela n'a pas été le cas.
Dans un premier temps, j'ai trouvé les personnages plus que désagréables, n'arrivant pas à m'y attacher, même cette journaliste ne m'a pas touchée. J'ai trouvé sa réaction inappropriée. Après, si l'intrigue est intéressante, je l'ai trouvée sous-exploitée. Et surtout, surtout, il m'a manqué de l'action, du suspens. Je m'attendais à frissonner ou angoisser, mais non, rien ! Oui en soi, l'idée de base est gore, mais à aucun moment je n'ai été écoeurée ou même choquée comme j'ai pu lire dans certaines chroniques. Tout au long de ma lecture, je me suis retrouvée spectatrice d'un spectacle mettant en scène la folie d'un homme soutenu par l'avidité d'un autre homme. Et je n'ai pas aimé ce que j'ai vu.
Point positif du livre : l'écriture. Le style de l'auteur est très agréable à lire et c'est çà qui a fait que je n'ai pas abandonné ma lecture.
En conclusion, Syndrome de Stockholm m'a laissée perplexe. Je suis sûrement passée à côté de quelque chose, mais je n'ai pas retrouvé dans ce livre ce que j'avais lu dans les chroniques élogieuses. Alors, peut être que du coup j'en attendais beaucoup trop. Ceci étant, comme tous les goûts sont dans la nature, n'hésitez pas à vous plonger dedans, car une chose est sûre : vous serez surpris !