Jay Crownover / Bad, tome 4 : Amour immortel

Par Ninie W. @ninie067

Quelques infos sur le livre :

 Amour interdit

  • Auteur : Jay Crownover
  • Serie : Bad
  • Genres : Romance, Contemporain
  • Editeur : Harlequin
  • Collection : &H
  • Publication: 13/ 09/ 2017
  • Edition: Broché
  • Pages : 372
  • Prix : 15,90€
  • Rating:  

Résumé :

Tuer ou être tué. C’est la loi qui a régi l’enfance et l’adolescence de Nassir Gates. Aujourd’hui, il n’aspire plus qu’à une chose : l’anonymat. Et The Point semble l’endroit idéal pour ça : dans cet enfer d’asphalte et d’acier, personne ne pose trop de questions. Mais le jour où il aperçoit Keelyn Foster sur la scène de ce club malfamé où elle danse à moitié nue, il découvre ce qu’il n’attendait plus : une raison de vivre. Elle est trop jeune, trop innocente, trop vivante pour cet endroit et il se promet de la sauver. Même s’il doit pour cela replonger dans le mode de vie qu’il a fui. Car, pour faire sienne Keelyn et lui offrir la vie qu’elle mérite, il sait qu’il n’y a qu’une solution : se hisser jusqu’au sommet de la hiérarchie secrète de The Point.

Avis de Mela :

Avant de vous donner mon avis et mon ressenti, je tiens à remercier les Éditions Harlequin et Romy, du service Communication Digitale, de m’avoir confié la lecture de ce service presse car j’ai bien aimé retourner à The Point.

J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre tout comme Jay en a pris pour l’écrire.
C’est grâce au premier tome de la série Bad, que j’ai découvert le style, l’univers et la plume de l’auteure, qui sont très addictifs… et depuis je suis devenue accro !
J’ai été ravie de revenir à The Point, dans cette ville où le crime est monnaie courante et qu’il fait pactiser avec le diable, pour avoir un temps soit peu, un sentiment de sécurité.
Et cette fois, c’est l’histoire du fameux diable de The Point, connu sous le nom de Nassir Gates, que j’ai découverte et j’ai vraiment aimé.
Nassir Gates dirige sa ville, ses business et bien plus encore, d’une poigne ferme et en faisant régner la crainte. Les gens savent à qui ils ont à faire et il ne faut surtout la lui faire à l’envers.
Mais il existe une chose, ou plutôt quelqu’un, qui résiste au diable… et ce quelqu’un, c’est Keelyn Foster, mieux connue sous le nom d’Honor, vous savez c’est la strip-teaseuse que l’on a déjà croisé à plusieurs reprises dans les tomes précédents.
Et quand quelque chose résiste à Nassir Gates, il met tout en œuvre pour que les gens cèdent à sa tentation et à ses caprices.
Et malgré son fort caractère et sa détermination, Keelyn ne peut plus lutter contre ses sentiments et ce que lui inspire Nassir.
Entre eux, c’est une lutte de tous les instants et rien ne se dresse entre eux.
Ce n’est pas une sortie de route, ni même une invasion de rats ou encore des tentatives d’assassinat, qui les affaibliront… bien au contraire.
Quand il y a du danger, le diable et sa douce n’en sont que plus forts, un peu comme à l’image d’Hadès et de Perséphone.
Ce tome 4 m’a énormément plu et recroiser les protagonistes des débuts de la sérié était génial.
Merci Jay pour cet univers sombre, dangereux mais tellement passionnant.

Extrait :

Nassir s’avança vers moi. Dans son sourire brillaient toutes les choses coquines qu’on s’était si longtemps refusées. Débarrassé de ses fringues de luxe, cabossé de partout, il était encore plus dangereux. Dépouillé de son armure, il s’offrait à moi : authentique, dénué d’artifice. Il était lui-même, beau et féroce. Un homme à l’état brut, vierge de tout vernis de civilisation.
Qu’est-ce qui le rendait aussi fascinant ? Les cicatrices qui ponctuaient chaque centimètre carré de son torse nu ? L’œuvre à l’encre noire qui lui recouvrait le dos, depuis la nuque jusqu’à la naissance de ses fesses sculptées ? Sa démarche souple qui faisait rouler les muscles sous sa peau, comme ceux d’un grand fauve en liberté ? Ses yeux de braise, à la couleur de la lave en fusion ? Ses cheveux trop longs dont le noir corbeau tranchait sur le blanc du pansement ? Tout ça, sans doute… Oui, c’était tout ça qui faisait de lui l’homme hyper sexy qui me troublait. J’en avais la chair de poule, des décharges d’angoisse qui se mêlaient au désir languide qui persistait dans mes veines. J’inspirai brièvement et fis ce que je faisais toujours quand je ne savais pas comment réagir face à ses provocations.
Je m’enfuis…