Jamie McGuire / The Maddox Brothers, tome 4 : Beautiful Burn

Quelques infos sur le livre :

Jamie McGuire / The Maddox Brothers, tome 4 : Beautiful Burn

Beautiful Burn

  • Auteur : Jamie McGuire
  • Série : The Maddox Brothers
  • Genre : Romance
  • Editeur : J’ai lu
  • Collection : Best
  • Publication : 17/05/2017
  • Edition : Broché
  • Pages : 375
  • Prix : 13,90€
  • Rating:   Jamie McGuire / The Maddox Brothers, tome 4 : Beautiful Burn

Résumé :

Tyler Maddox est un frimeur au grand cœur. Créature de la nuit et des flammes, il mène une vie sans attaches… jusqu’à cette soirée qui le conduit à franchir le seuil de la maison Edson.
Fraîchement diplômée, Ellie Edson est à la dérive et tente de combler la vacuité de son existence par les excès en tout genre. Dédaigneuse, égoïste, mais surtout rongée par ses démons, elle agit sur Tyler avec la précision d’un aimant.
Lorsque la jeune femme se retrouve au pied du mur, il sera l’un des rares à croire en elle et à lui tendre la main. Reste à souhaiter que ce combattant du feu sera en mesure de lutter contre la part d’ombre d’Ellie…

Avis de Mela :

Tyler était le dernier de la fratrie Maddox qui me restait à rencontrer… et c’était sympa mais sans plus !
Je ne dis pas que je me suis ennuyée en sa compagnie et celle d’Ellie mais je n’ai pas ressenti autant de choses et d’émotions que j’ai vécu avec son jumeau Taylor et bien sûr Travis.
Fait de hauts et de beaucoup de bas, Beautiful Burn était une jolie romance mais elle ne m’a pas transporté aussi loin que je l’aurais aimé.
Par contre les descriptions sur les incendies et les tâches effectuées par les sapeurs forestiers étaient très explicites et m’ont donné la sensation d’être avec les gars en train de creuser des tranchées pour arrêter la progression des feux.
Désormais, il ne reste plus qu’à découvrir Beautiful Funeral, qui j’espère sera vite publié en France, afin de conclure la belle aventure partagée avec la grande famille Maddox.

Extrait : 

Tyler était en journée de récupération, mais cela ne l’empêchait pas d’aider son équipe à creuser une tranchée de soixante centimètres de profondeur. Je le regardai plonger son pulaski dans le sol comme si c’était de la mousse, diriger les hommes autour de lui comme si un incendie ne détruisait pas tout sur son passage à moins d’un kilomètre de là.
Revenant sur les clichés que j’avais pris, je remarquai qu’il y en avait déjà beaucoup de lui, mais cela ne m’empêcha pas de zoomer pour faire un gros plan de son profil luisant de sueur et noirci par la suie, sur fond de soleil couchant. Il était beau sous tous les angles. Et j’avais envie qu’il soit sur tous mes clichés. Les pins verts se tenaient bien droits, attendant d’être sauvés. Avec le gris froid de la colonne de fumée et les tons chauds orangés de l’incendie pointant à l’horizon, ce paysage tragique offrait une magnifique toile de fond…