C’est l’heure du rendez-vous mensuel « Lus dans le train » !
Je vous rappelle un peu le concept, qui a été créé par Les Lectures de Mina. :
« Pour tout ceux et toutes celles qui ont l’habitude de prendre les transports en commun, nous croisons souvent d’autres passagers plongés, eux aussi, dans un roman. Une belle échappatoire pour sortir de notre train-train quotidien. Et je vous avoue, j’ai tendance à jeter un coup d’œil sur la couverture du livre et le titre. Et pour ceux qui retiennent mon attention, je les note sur mon portable.
On ne sait jamais: si c’était un futur coup de cœur ? »
Le voilà enfin de retour!
Après une longue pause de 4 mois, « Lus dans le train » est enfin de retour ! Entre départs de vacances, retour de celles-ci et la rentrée, j’avais décidé de mettre en pause ma chasse aux titres. Et cela fut bénéfique ! Je suis en pleine forme et je dégaine mon portable dès que je croise un roman dans les transports. Prêts pour le retour de notre rendez-vous mensuel ? Alors, allons-y !
JE VOUDRAIS QUE QUELQU’UN M’ATTENDE CE SOIR, d’Anna Gavalda (J’ai Lu, 2001)
«Douze portraits de femmes et d’hommes habités futiles ou de désespoir grave. Ils ne sont pas héroïques, simplement humains. On les croise tous les jours sans leur prêter attention.»
- Ado, je voyais souvent ce roman dans les journaux, affiches et entre les mains de plusieurs lecteurs dans les transports. Il avait remporté un grand succès l’année de sa sortie. Lorsque je l’ai revu dans le métro dans les mains d’une jeune femme d’à-peu-près mon âge, je me suis mise à me rappeler quand je traînais à la FNAC et le regretté VIRGIN sur les Champs-Élysées. Souvenirs, souvenirs…
LA MAISON DE POUPÉE, de M. J. Arlidge (Les escales noires, 2017)
«Une jeune femme se réveille dans une cave froide et sombre. Elle est seule et n’a pas la moindre idée de la façon dont elle s’est retrouvée là, ni de l’identité de son ravisseur. Et elle ignore encore que son cauchemar ne fait que commencer…
Pas très loin de là, le corps d’une autre femme est découvert sur une plage isolée. Sa disparition n’a jamais été déclarée à la police : sa famille qui recevait encore des textos de sa part n’avait aucune raison de s’inquiéter.
Pour la détective Helen Grace, il n’y a aucun doute : le monstre qui se cache derrière ce meurtre n’en est pas à son coup d’essai et a déjà tué. Elle a affaire à un prédateur pervers, intelligent et qui ne recule devant rien, et quelque part une femme est en danger de mort…»
- Un nom connu parmi les amateurs de thriller. Je vous avoue que je n’ai lu aucun de ses romans. Le résumé est tentant, mais avec un aspect de « déjà-vu ». A voir, on ne sait jamais.
GEISHA, d’Arthur Golden (Le livre de poche, 2006)
«À neuf ans, dans le Japon d’avant la Seconde Guerre mondiale, Sayuri est vendue par son père, un modeste pêcheur, à une maison de plaisir de Kyoto. Dotée d’extraordinaires yeux bleus, la petite fille comprend vite qu’il faut mettre à profit la chance qui est la sienne. Elle se plie avec docilité à l’initiation difficile qui fera d’elle une vraie geisha. Art de la toilette et de la coiffure, rituel du thé, science du chant, de la danse et de l’amour : Sayuri va peu à peu se hisser au rang des geishas les plus convoitées de la ville. Les riches, les puissants se disputeront ses faveurs. Elle triomphera des pièges que lui tend la haine d’une rivale. Elle rencontrera finalement l’amour…Écrit sous la forme de mémoires, ce récit a la véracité d’un exceptionnel document et le souffle d’un grand roman. Il nous entraîne au cœur d’un univers exotique où se mêlent érotisme et perversité, cruauté et raffinement, séduction et mystère. «
- L’un des mes coups de cœur littéraire. Je suis tombée sur ce titre, par un pur hasard, dans une boutique de livres d’occasion sur Paris. Très vite, je me suis laissée emporter par le récit. J’avais tellement adoré que j’ai regardé, dans la foulée, son adaptation au cinéma. Si vous ne l’avez pas encore lu et que vous aimez tout ce qui touche à l’Asie, je vous conseille vivement ce roman.
MÉMÉ DANS LES ORTIES, d’ Aurélie Valognes (Le livre de Poche, 2016)
« Ferdinand Brun, 83 ans, solitaire, bougon, acariâtre – certains diraient : seul, aigri, méchant –, s’ennuie à ne pas mourir. Son unique passe-temps ? Éviter une armada de voisines aux cheveux couleur pêche, lavande ou abricot. Son plus grand plaisir ? Rendre chèvre la concierge, Mme Suarez, qui joue les petits chefs dans la résidence. Mais lorsque sa chienne prend la poudre d’escampette, le vieil homme perd définitivement goût à la vie… jusqu’au jour où une fillette précoce et une mamie geek de 93 ans forcent littéralement sa porte, et son cœur.
Un livre drôle et rafraîchissant, bon pour le moral, et une véritable cure de bonne humeur! »
- Voici un titre que j’ai souvent vu dans les transports. A voir son résumé, il a tout du roman feel-good. Je me laisserai bien tentée…
Contente de voir « Lus dans le train » de retour, et vous ? J’espère pouvoir être bien plus régulière pour les prochains numéros. En tout cas, je suis plus motivée que jamais pour me relancer dans cette quête aux titres. Je vous dis à bientôt avec de nouvelles trouvailles !
(Image d’intro de Piiyo-chan – Image à la une tiré de Miles Hyman )