J-7 avant la descente à Lamballe.
Parmi les 40 auteurs invités, je demande Yvon Coquil.
Auteur plein d'humour qui dit "écrire comme il cause", découvert pour ma part avec la lecture d'un Léo Tanguy en 2014.
Je vous livre ici le petit billet écrit en 2014 pour le Cri de L'Ormeau.
Dernier train pour Ouessants'inscrit dans le roman noir populaire. La collection Les enquêtes de Léo Tanguya été créée en 2008. En 2011 Coop Breizh arrête la publication, reprise par La Gidouille en 2014 sous le titre Les nouvelles enquêtes de Léo Tanguy. Gérard Alle reste le directeur de la collection.
Léo-Allistair Tanguy est cyber-journaliste. Il enquête et retranscrit ses notes sur son site où commentaires et réactions des internautes vont bon train.
Pour cette 16è enquête, l'auteur Yvon Coquil nous entraîne à Brest. Léo s'y rend pour une affaire particulière : la mort brutale de son ami Polo, drôle de flic gauchiste. C'est le temps des luttes sociales, des pluies de goélands, des ex-flics véreux et de la Global Race. Régate créée par des capitaines de la haute finance s'offrant des voiliers de luxe pour barrer une fois l'an et se faire plaisir... Le sponsor principal n'étant rien d'autre qu'un marchand d'armes déguisé en fournisseur d'électronique.
De belles rencontres avec des ouvriers des chantiers navals, des éco-activistes et des varappeurs bluffants permettront à Léo de passer un sacré séjour à Brest et de mener ses investigations à terme.
Nous aurons plaisir à retrouver Yvon Coquil et son humour les 18 et 19 novembre, avec un nouveau recueil de nouvelles "Métal Amer" paru en 2017 aux éditions Sixto.