Titre : L’Alchimiste
Auteur : Paulo Coelho
Editeur : Flammarion
Parution : 2017 (1988)
Nombre de pages : 210
Genre : Conte philosophique
CHRONIQUE #343
Novembre 2017
Santiago, un jeune berger andalou, part à la recherche d’un trésor enfoui au pied des Pyramides.
Lorsqu’il rencontre l’Alchimiste dans le désert, celui-ci lui apprend à écouter son cœur, à lire les signes du destin et, par-dessus tout, à aller au bout de son rêve.
Merveilleux conte philosophique destiné à l’enfant qui sommeille en chaque être, ce livre a déjà marqué une génération de lecteurs.
Voici un livre « classique » moderne que je n’avais jamais lu. L’achimiste est donc le premier livre de Paulo Coelho que je découvre et que dire ? Soyons simple, restons bref : je n’ai pas vraiment aimé ce livre. Je pensais lire un « must read », un de ces livres qui nous reste en tête jusqu’à la fin des temps. Un de ces livres sages et spirituels, doux et réfléchi. Un de ces livres forts et puissants. Mais en toute honnêteté, je suis complètement passée à côté de ce récit.
Le livre n’est pas long mais j’ai du m’accrocher pour le terminer. En le commençant, je pensais retrouver le style de Frédéric Lenoir (l’Âme du Monde, Coeur de cristal) et il est vrai que l’ambiance est un peu similaire. Dans les deux cas, il s’agit d’un récit « spirituel » ou initiatique. Un livre d’apprentissage sur la vie avec une leçon derrière. Cependant, contrairement aux livres de Lenoir qui me sont eux, restés en tête, je ne pense pas recommander L’alchimiste a beaucoup de mes connaissances. C’était long, un peu ennuyant et pas très palpitant.
Alors, oui, ce livre a été vendu à des centaines de milliers d’exemplaires et traduits en plusieurs langues. Oui, il présent un beau récit et permet de lancer une discussion ouverte sur la quête personnelle que tout un chacun a en soi. Les profs de morale pourraient faire tout un cours sur ce roman. Mais franchement, il faut s’accrocher pour arriver au bout. Même si ça commençait plutôt bien (et encore, il faut aimer le genre « conte philosophique »), j’ai totalement décrocher.
Ce n’est pas « une daube » (pardonnez l’expression) mais c’est loin d’étre « LE » livre à lire absolument dans sa vie… Vous l’avez compris, je ne le recommande pas chaudement. Je mentionne simplement qu’il pourrait être intéressant pour les amateurs de contes philosophiques ou de roman à apprentissage sur la vie.
Pour information, j’ai acheté l’édition mentionnée ci-dessous, c’est-à-dire celle paru cette année chez Flammarion à 18€. Pour le coup, je me dis que j’aurai peut-être du allouer cette somme à une édition collector d’un autre titre… Mais bon, le livre objet est super beau et il donnera bien dans ma bibliothèque !
Lecture approuvée par #atouchofbluemarine
et KILI KOBALT, le koala qui lit !
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