Lorsque le sénateur Lactus Bifidus, préposé aux voies romaines, est accusé de ne pas entretenir celles-ci, leur préférant les orgies, il décide d’organiser une course chars pour prouver que la circulation se fait dans les meilleures conditions. Tous les peuples peuvent participer. Astérix et Obélix s’engagent. Dans les coulisses, César exige qu’un Romain gagne la course, la réputation de Rome est en jeu !
Astérix et la Transitalique est le 37ème tome d’Astérix. Jean-Yves Ferri est au scénario, Didier Conrad aux dessins et Thierry Mébarki aux couleurs. Ensemble, il font découvrir l’Italie aux héros de René Gosciny et Albert Uderzo. De Monza à la Baie de Naples, en passant par Florence, Parme ou Venise, Astérix et Obélix goûtent au jambon en tranches (« Du jambon en tranches ! Pourquoi pas du fromage en poudre tant qu’on y est ! »), « de la pâte découpée en lanières », empêchent le Vésuve de se réveiller tout de suite, voient une tour qui penchent et tapent bien évidemment un nombre non négligeable de Romains. Un vrai jeu avec l’Italie est mis en place ici. Les lecteurs croisent les caricatures d’Alain Prost, de Silvio Berlusconi, de Monica Bellucci, de Léonard de Vinci ou encore de Luciano Pavarotti. Les blagues et les jeux de mots sont faciles ou grinçants mais dans les deux cas hilarants. La série, ici plutôt menée par Obélix, est en grande forme !
Lectures de novembre 2017
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