Auteur : Agnès Boucher
Titre : Méfiez-vous des contrefaçons
ISBN: 978-2-37011-138-8
Format numérique – Editions Hélène Jacob
Lecture faite dans le cadre d’un Service Presse en partenariat avec simplement.pro
Passionnée par l’Autre et l’écriture sous de nombreuses formes, Agnès Boucher est auteur, coach et fondatrice d’un cabinet de conseil en ressources humaines.
La lecture puis l’écriture ont toujours fait partie intégrante de sa vie…
La musique aussi, surtout classique, la nourrit, uniquement comme mélomane, hélas.
Enfin, les paysages sont importants, pour les grandes balades à l’aventure durant lesquelles son esprit se met en mode vagabondage… Longtemps ce furent les collines du Perche puis, durant quelques années, sa vie personnelle l’emmena dans les multiples sentiers de l’Oxfordshire, avant de revenir à ses chères préférences normandes…
Elle a écrit quelques docu-fictions pour France Inter. Elle a également publié des ouvrages en lien avec la musique classique, d’abord un essai : Comment exister aux côtés d’un génie ? Fanny Mendelssohn, Clara Schumann, Alma Mahler et les autres, puis un récit : Alma Mahler, naissance d’une ogresse, les deux chez L’Harmattan.
Paradoxalement, sa forme de prédilection est la fiction, sous forme de nouvelles ou de romans policiers. Méfiez-vous des contrefaçons est le premier d’entre eux.
4eme de couverture :
Gide a écrit : « Famille, je vous hais ». De son côté, Woody Allen « préfère l’incinération à l’enterrement et les deux à un week-end avec sa famille »… La famille, on a beau la fuir, elle vous revient souvent dans la figure comme un boomerang faussement facétieux. Quand ce retour prend l’allure de jeu de massacre dans les rues de Paris, où les femmes tombent comme des mouches sous les doigts d’un tueur acharné, cela devient carrément insupportable… En même temps, Victoire Meldec ne voit pas pourquoi elle devrait se sentir concernée, même après sa rencontre musclée avec le meurtrier, et malgré ce que chacun s’acharne à lui répéter, jusqu’au commissaire Tahar Agnelli, indécrottable individualiste, finalement pas si insensible que cela au charme de la donzelle. Mais sommes-nous vraiment celui – ou celle – que chacun de nous prétend être ? Quels sont ces masques dont nous nous servons pour cacher nos peurs et nos désirs, enfouis au plus profond de notre inconscient, collectif ou individuel ? Tout cela peut-il finir un jour, et les Parisiennes profiteront-elles enfin du retour du printemps sans plus craindre le pire… ?
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