Un hiver nommé désir

Un hiver nommé désirAuteur : Ruby Jefferson

Editeur : J’ai Lu

Collection : Promesses

Genre : Romance

Parution : 2017

Pages : 312

Le week-end commençait pourtant bien. Amy avait quitté Washington pleine d’entrain pour son reportage en Virginie. Hélas, trahie par son GPS, elle se perd dans les monts Allegheny. Son pneu crève, une tempête de neige se lève, et la voici contrainte d’accompagner un inconnu dans son pick-up. Orson, mélange de bûcheron et de Viking, l’emmène, visiblement à contrecoeur, dans son chalet coupé de toute civilisation. « Quand ça tombe, ça tombe, prévient-il, et cela peut durer des jours entiers. »
Comment supporter la cohabitation forcée avec cet ours qui la prend pour une écervelée ? Un cauchemar ! Même si, il faut l’avouer, il est terriblement sexy quand il coupe du bois…


Un hiver nommé désir

Je crois que je vais définitivement abandonner les romances ! J’en ressors toujours très déçue et ennuyée. Je pensais lire une petite romance de Noël sympathique et rapide, et au final j’ai abandonné ma lecture à 100 pages de la fin.

C’est bien simple, ce roman est d’une lenteur ! Il ne se passe rien et pourtant l’autrice en écrit des tartines. Je me suis ennuyée ferme en plus de ne pas du tout m’attacher aux personnages. En ce qui concerne la romance, il ne se passe pratiquement rien les 3/4 du roman. Les deux protagonistes ne se parlent jamais et sont rarement dans la même pièce. Difficile de ressentir une alchimie entre eux du coup. On s’attarde sur le passé des deux personnages qui n’apporte rien à l’histoire et celle-ci n’avance pas.

Un hiver nommé désir

Je n’ai pas apprécié le fait que l’autrice juge par le biais de son roman les vegans en les ridiculisant. L’héroïne passe juste pour une idiote qui suit un régime végan sans savoir vraiment pourquoi à part que c’est « mode ». On a là tous les clichés de la citadine qui débarque à la montagne en talon aiguille et qui pense que les habitants du coin vivent encore au moyen-age.

L’histoire accumule les clichés, la romance ne fait pas rêver et j’ai plus d’une fois été démangée par l’envie de claquer l’héroïne. Pour ma part un gros flop pour cette romance de Noël !

Un hiver nommé désir

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