Au niveau du dessin nous avons deux artistes fort différents dès les premières pages. Tout d'abord Matthew Clark qui hésite entre un style propre à Terry Dodson ou à Yanick Paquette, avec des silhouettes tour à tour très élégantes ou légèrement maladroites. C'est assez beau mais ça manque encore de constance. Ensuite Liam Sharp qui nous fait vaguement penser à David Finch, avec des planches encrés lourdement, solennelles, bien plus sombres, qui semblent plus adaptées à un récit dramatique mettant en scène des dieux et des décors mythologiques. C'est lui qui s'installe sur cet arc narratif, et qui donne une ambiance poisseuse et tropicale à l'aventure que vous pourrez lire. Un Tome 2 qui donne envie d'en savoir plus, du coup.
Chaque jour, retrouvez nous sur la page Facebook Avec toute l'actualité de Wonder Woman et DC
A lire aussi :
Wonder Woman Rebirth tome 1
&version;