Un témoignage poignant.
Personne ne devrait jamais vivre ça, personne !
Natascha Kampusch a vécu le pire : le 2 mars 1998, à l'âge de 10 ans, elle est enlevée sur le chemin de l'école. Pendant 3096 jours, huit ans et demi, son bourreau, Wolfgang Priklopil, la garde prisonnière dans une cave d'environ cinq mètres carrés, près de Vienne.
En août 2006, elle parvient à s'enfuir par ses propres moyens. Priklopil se suicide le jour même.
Dans ce récit bouleversant, Natascha Kampusch révèle les circonstances de son enlèvement, le quotidien de sa captivité, sa terrible relation avec son ravisseur et la façon dont elle a réussi à survivre à cet enfer.
Le témoignage unique d'une traversée de l'inimaginable par une jeune femme qui ne s'est jamais laissé briser.
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et, même si je ne lis pas beaucoup de témoignages, il me faisait envie. Lorsque je l'ai trouvé dans une boîte à livres, je n'ai pas hésité à le prendre. que cette enfant a vécu est juste abominable ! Horrible ! Terrible ! J'aimerais croire que de telles choses ne sont pas possible, que c'est juste une fiction parmi tant d'autres. Malheureusement, de telles personnes existent. Là où il y a de la lumière, il y a de l'ombre. Là où il y a de l'innocence, il y a de la perversion. Là où il y a des gentils, il y a des méchants. ne pas se perdre elle-même entre les humiliations, les privations, les manipulations, les conditionnement et les mauvais traitements. Elle a su, pour une petite fille, faire preuve de beaucoup d'adaptabilité et d'un instinct de survie impressionnant qui lui ont permis de rester en vie. Je suis admirative. mettre à sa place, aucune de ces personnes n'a vécu la même chose. Comment peuvent-ils se permettre de la juger, de la discréditer, limite de la traiter de menteuse ?
Ce livre, cela faisait longtemps que j'en avais entendu parler
J'en ai donc profité pour le lire dans le cadre du
Et les journalistes... des vautours prêts à tout pour une exclusivité et sans aucune considération pour la victime !
Par contre, je n'ai pas accroché au style narratif que j'ai trouvé confus au niveau chronologique. Il y a beaucoup trop de sauts dans le temps, ce qui fait que je m'y suis perdue. Mais aussi, et ce qui est le plus déconcertant, on ne sait pas, parfois (souvent), si elle raconte avec son ressenti d'enfant prisonnière ou celui d'adulte libérée.
J'y ai aussi trouvé des répétitions, mais ça ne m'a pas dérangé. Pourquoi ? Parce que c'est un témoignage, qu'elle a été séquestrée pendant plus de huit ans dans 5m² par un maniaque pour qui le contrôle était supra-méga important. Bien sûr qu'il va y avoir des répétitions. Je dirais même, il doit (selon moi hein !) y en avoir quelques unes.
En résumé, c'est un témoignage poignant que je conseille de lire, pour se faire une idée de ce que peut ressentir une victime de ce genre de crime qui, nous sommes d'accord, ne devrait tout simplement pas exister !
C'est aussi dans cette optique que je "comprends" sa relation avec son ravisseur qui était, somme toute, son seul lien avec le monde extérieur, son seul contact humain, sa seule référence. Comment ne rien développer ? Sans parler ici de Syndrome de Stockholm (case dans laquelle on a absolument voulu la ranger) vu qu'il n'est nullement question d'amour et qu'elle n'a jamais perdu l'envie de se sauver. Je ne comprends donc pas la réaction des gens à son encontre, même de la police... Personne ne peut se
Il a fallu bien du courage à Natascha pour ne pas sombrer et (un livre avec un titre qui a un élément du temps chronologique).
Il est toujours difficile de dire que l'on a aimé ou non un témoignage de ce genre. Parce que ce