Edition : Albin Michel
Date de parution : 2 novembre 2017
Nombre de pages : 256 pages
Résumé :
Un matin du mois de mai, Sindbad quitte son domicile d’óbuda en promettant à sa femme de rapporter, avant la tombée de la nuit, les soixante pengös nécessaires à l’achat d’une robe pour leur petite fille. Mais à peine parti, ses bonnes intentions se dissipent. Cédant à la tentation d’une balade en calèche, il se laisse aller à une douce flânerie, revisitant le Budapest d’hier, au gré des lieux aimés : le bain turc, où « Orient et Occident fusionnaient dans les brumes de chaleur », le café Chicago où il écrivait, les restaurants où il dînait…
Mon avis:
Tout d’abord je remercie les éditions Albin Michel pour cet envoi.Malheureusement, et oui ça arrive, je n’ai pas accroché avec ce livre.
C’est une jolie histoire, mais le style de l’auteur et la longueur infinie des phrases m’ont empêchés de me plonger dans l’univers du livre.
Le personnage principal n’est pas attachant, malgré son vécu, et je n’ai pas ressenti d’émotions particulières pendant ma lecture.
Le vocabulaire assez poussé fait également partie des raisons pour les lesquelles je n’ai pas réussi à me plonger dans le monde de l’auteur.
C’est dommage car c’est un livre intéressant qui nous plonge dans la « vieille Hongrie ». On y découvre le pays d’une autre façon.
En résumé, il s’agit d’une histoire intéressante mais sans plus…