Défi 142 : la vie de famille idéale de Sally

Par Severine Vialon @VIALONSeverine

Défi 142 : la vie de famille idéale de Sallyy

défi 142 : écrire sur le thème : la vie en famille, un défi proposé toutes les semaines par Evy.

Premier épisode de notre histoire de janvier.

Défi 142 : la vie de famille idéale de Sally

Sally, enseignante en maternelle dans une petite école de campagne, menait une vie qu'on aurait qualifier d'idéale.

Son travail, elle l'adore, sa relation aux petits est enviable, ses collègues sont adorables. Un esprit d'équipe les anime, elles travaillent en harmonie tout en conservant chacune sa personnalité et sa spécificité.

Côté famille, que dire ? Un mari enviable, agréable à admirer qui l'aide dans le quotidien de la maison. Travaillant tous les deux, il trouve normal qu'elle ne soit pas la seule à tout gérer. Les collègues de Sally ne peuvent pas en dire autant de leurs hommes, un sujet de conversation qui revient régulièrement entre elles. La seule pointe de jalousie qui pourrait exister entre elles.

Un mari aimant, aidant, prévenant et deux beaux enfants. Un garçon et une fille, une de chaque sexe comme en rêve beaucoup de couples, en cachette, car il vaut mieux dire que le principal est d'avoir un enfant en bonne santé.

Julie, sa cadette, une petite blondinette de six ans, menue mais coquette qui attaque son CP avec une ténacité certainement due à son amour pour les livres. Elle ne les lit pas encore seule mais en admire les images, s'imaginant déjà les histoires qu'elles renferment. Elle sait que bientôt, elle pourra les dévorer toute seule sans plus avoir à demander l'aide de ses parents ou de son grand frère. Ce dernier, Noé, aussi brun que Julie est blonde, a une vraie passion pour le jardin, la nature, les plantes. Il n'est pas du genre à végéter devant les écrans. Aux beaux jours, il se sauve dehors pour jardiner, soigner les plantes, nettoyer les mauvaises herbes. L'hiver il lit des revues ou des livres sur sa passion.

Pour parfaire ce tableau de rêve, n'oublions pas la minette qui se complait à se faire câliner dès que ses maîtres sont de retour.

Un tableau de rêve vous dis-je, et pourtant...

A suivre...