Un roman qui véhicule de beaux messages.

Pour prendre du recul sur sa vie passée et réfléchir à son futur, Pierre décide de s'isoler sur une île perdue au milieu du Pacifique, aux antipodes de la civilisation, de son modernisme et de sa vie effrénée. Ce paradis est habité par une population primitive refusant tout ce qui vient de l'extérieur, et ce, quel qu'en soit le domaine. Pourtant, Pierre va réussir à se faire adopter par ce peuple. Il vivra alors selon ses coutumes et découvrira un mode de pensée qui le conduira à renoncer à tout ce qu'il connaissait jusqu'alors.
Nouvelles aventures, nouvelle vie, nouvel amour pour un nouveau bonheur, mais pour combien de temps ? Une fois de plus la nature sera-t-elle plus forte que l'être humain ?
La dernière vie de Pierre, c'est la promesse d'un véritable voyage littéraire. Un voyage vers l'inconnu, à la découverte de l'autre, au-delà des préjugés et des différences.
À travers son premier roman, Philippe L'Huillier offre au lecteur un texte profondément humaniste et un retour à des valeurs essentielles comme la tolérance et la liberté.

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Je voulais tout d'abord remercier Anaelle Alvarez Novoa de la maison d'auto-édition de majuscule à la première lettre du titre...Alors, passons maintenant à un sujet moins réjouissant, le style. Alors il n'est pas mauvais non ! Philippe L'Huiller a bien su me faire voyager sous le soleil, au milieu de ces "indigènes" qui ont tout compris (ou presque) à la vie. Sa plume est assez descriptive et, moi qui n'aime habituellement pas trop ça, j'ai été ravie de les lire et de m'en imprégner ! ^^ technologie, tout juste découvert dans une île perdue du Pacifique du côté de Hawaï, Pierre décide d'aller y passer des vacances bien méritées. Il pourra ainsi se reposer, faire le point sur sa vie et réfléchir à son avenir. Jamais il n'aurait pu imaginer ce qu'il allait y découvrir, ni vivre au contact de ce peuple qui prône le respect, le partage, l'entraide et et la tolérance !A travers ce peuple, l'auteur nous offre la vision d'une société purement utopique où la nudité est monnaie courante et l'homosexualité quelque chose de naturel et de respecté, voire d'admiré. Dans cette société, chacun trouve sa place, son utilité et contribue au bon fonctionnement du village, ce qui donne une communauté très soudée et pacifiste où tout le monde est heureux.et tristesse et l'auteur nous livre vraiment une très belle leçon de vie. Publishroom pour ce SP. ^^
J'en profite pour valider ma seconde catégorie, la n°41
Mais les coquilles restent assez nombreuses et les répétitions sont beaucoup trop présentes pour avoir un style réellement fluide. Tout comme les virgules qui sont parfois absentes des endroits stratégiques où elles auraient dû être. En fait, ce texte donne un peu l'impression d'un premier jet qui n'a pas beaucoup été relu...
J'ai bien aimé le personnage de Pierre et ai suivi ses aventures avec grand plaisir, aux côtés de Dereck (le scientifique), Gao (le fil du chef), Tunpim (le chef), Kami (le chaman) et les autres qui sont tout aussi intéressants. J'ai aimé me représenter cette plage du Pacifique, la forêt, le village et ses habitants. J'ai aimé apprendre les us et coutumes de ce peuple et connaître son quotidien, ses croyances, ses rituels.
J'ai juste trouvé dommage que la barrière de la langue soit si peu évoquée. Gao est censé parler quelques mots d'anglais et faire le traducteur entre Pierre et son peuple, mais à aucun moment la communication ne semble difficile, à aucun moment il n'y a un cafouillage dans la traduction (ce qui aurait pu être drôle). Du coup, je trouve ça peu crédible. Mais bon, c'est juste histoire de chipoter, hein ! :p
Il y a un point que j'avais vu venir gros comme une maison, mais ça ne m'a pas dérangée, au contraire, puisque j'ai pu suivre l'évolution de la chose en amont et prêter attention aux détails plus attentivement. ^^
Pierre avait, sommes toutes, peu (pas ?) de choses à changer chez lui. C'était juste son monde qui ne lui convenait pas.
En résumé j'ai beaucoup aimé ma lecture malgré les "petits problèmes de finition" du texte. Philippe L'Huiller, au travers de son livre, des choix de Pierre et de la vie du peuple de Tunpim, nous pousse à la réflexion. Avons-nous vraiment besoin de tout ce que nous avons ? Ne pouvons-nous pas vivre plus simplement ? Plus sainement ? Plus humainement ? Serions-nous prêts, comme Pierre, à tout quitter pour trouver le calme, la quiétude et le bonheur loin des questions pécuniaires et administratives, loin de la guerre et de la haine ?
Ce roman véhicule vraiment de belles valeurs et je ne peux que vous conseiller de vous y plonger. Peut-être, comme Pierre avant vous, voudrez-vous tenter de vivre une autre vie. ^^
J'aurais peut-être juste aimé quelques informations complémentaires sur le franchissement des cinq portes, parce que je n'ai pas vraiment compris ce que c'était réellement et pourquoi Pierre avait toujours du mal avec la seconde.
Alors je n'y connais pas grand-chose en maison à compte d'auteur, mais je sais qu'il y a des formules dont les prix varient en fonction des besoins (et du compte en banque) de l'auteur. Je ne sais pas si, ici, la correction était comprise, mais si oui, ce monsieur s'est fait flouer... Si non, il lui faut de toute façon faire une grosse relecture !
Bon, passons à l'histoire en elle-même. Nous faisons la connaissance de Pierre, un homme qui, à force de travail et d'acharnement, a réussi sa vie professionnelle, à défaut de sa vie personnelle qui s'est vu entachée d'un divorce. Pierre est un homme gentil, bon, intelligent, qui s'adapte facilement, donne sans retour (hello Mary Sue !) et qui est adepte du chamanisme.
Après avoir vu une émission sur un peuple refusant toute (un roman initiatique) du Défi Lecture 2018, ainsi que ma première catégorie (un livre d'un auteur que tu n'as jamais lu avant) du Challenge 2018.
Commençons par la couverture. Cette dernière est très simple et n'attire peut-être pas vraiment l'œil, mais ce côté épuré correspond tout à fait au message que véhicule le livre. Le seul hic pour moi : l'absence
Concernant la fin, elle allie à merveille admiration, tendresse

Pour le dévorer, c'est par ici .