Cerise et sa maman ont du mal à communiquer mais réussissent à s’ouvrir l’une à l’autre grâce à l’écrit. Elles s’échangent des lettres dans lesquelles elles revivent leur arrivée au village après le décès du papa de Cerise, les premiers pas de la petite fille dans sa nouvelle école, la rencontre avec Erica, Line et Isabelle Desjardins. Elles remontent le temps jusqu’à leur vie à trois et surtout jusqu’à l’origine du mal qui ronge Cerise depuis la terrible nuit qui changea à jamais le cours de son existence.
Des premières neiges aux Perséides est le cinquième et dernier tome des Carnets de Cerise. Le point final à un premier cycle en tout cas. Une première touche d’émotion. Si cette dernière a toujours été présente dans les livres de Joris Chamblain et Aurélie Neyret, elle saisit ici le lecteur dès les premières pages et ne le lâche pas même une fois la fin arrivée. Le deuil, la reconstruction de l’enfant et du parent, thèmes tantôt clairs tantôt latents de la saga, sont véritablement au cœur cette intrigue qui libère enfin Cerise de son secret. Entre passé et présent, les planches et les mots sont comme toujours parfaits et sublimes. L’aventure aura été inattendue, poétique et stimulante, c’est indéniable.
Présentation de l’éditeur :
Cerise, onze ans, vit seule avec sa mère et rêve de devenir romancière. Elle a déjà commencé à écrire ses carnets ! Son sujet favori : les gens, et surtout les adultes. Elle les observe pour tenter de deviner leurs secrets les plus enfouis Au fil de ses enquêtes, elle a compris à quel point son passé lui manquait et faisait tout pour ressurgir. À travers une correspondance avec sa mère, Cerise va replonger dans ses souvenirs, dans son enfance des premières rencontres aux premiers mensonges… Ce voyage lui dévoilera le secret de ses carnets et on comprendra enfin pourquoi elle déteste tant que les adultes dissimulent quelque chose…
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