Romain C.G Esteban, écrivain.

Romain Esteban, écrivain.

Nom : Esteban

Prénom : Romain C.G.

Métier : Auteur

Parcours : c’est en 2017 à 27 ans, que j’ai décidé pour la première fois de faire partager mes histoires. J’ai toujours écrit d’aussi loin que je me souvienne. Mais il m’a fallu un évènement « traumatisant » pour finalement me jeter dans le grand bain. Je suis originaire de la région toulousaine, et je vis désormais en Angleterre à Windsor, où je continue d’écrire. J’ai un cursus un peu atypique, j’ai d’abord étudié la chimie pour ensuite m’intéresser aux langues et à la psychologie. Je pense que c’était un moyen pour moi de créer de la profondeur et d’ajouter un élément de réalité et paradoxalement de normalité à mes fictions. J’aime expérimenter et tout tester, je passe mon temps à voyager et découvrir de nouvelles choses. Ma première passion reste les films d’épouvante, j’en consomme tellement qu’il m’est aujourd’hui difficile de regarder un film que je n’ai pas déjà vu plusieurs fois. Je pense que cela se reflète assez dans mon style d’écriture, j’ai eu quelques critiques qui me reprochaient d’avoir un style trop parlé, trop cru et parfois si certain trouvent ca rafraîchissant un peu façon « Carrie Bradshaw » d’autres déteste. Je suis du genre à prendre tout ce que l’on me donne, mais j’ai beaucoup de mal à changer quelque chose que je pense original. Après tout mon premier bouquin « Pourquoi tuer son ex » est une autofiction, à quel point faut-il romancer une histoire vraie pour qu’elle rentre suffisamment dans le moule sans relever de l’autobiographie ? À quel point peut-on la romancer avant qu’elle ne tourne complétement à la fiction ? Je n’ai pas écrit ce livre pour choquer, mais plus pour alerter, alerter sur les dangers d’une relation toxique, ou à sens unique suivant le point de vue, mais surtout essayer de désembuer les esprits les plus étroits. Je sais que ce que je fais est encore un peu tabou, mais j’ai à cœur de rendre ce sujet le plus acceptable possible en marquant au maximum les mémoires. C’est ce que j’aime le plus dans l’écriture. C’est pour ça que j’écris aujourd’hui. Je reviens maintenant à mes premiers amours avec des histoires de suspense et de fantasy, mais ce premier livre est, et restera un des éléments qui caractérise le mieux mon parcours. J’ai choisi de commencer par l’autoédition, c’est un moyen pour moi de respecter mes envies, mon rythme et de n’avoir en cas de soucis, qu’une seule et même personne à blâmer –moi même. C’est un concept que j’adore, et même si les moyens de distributions ou de promotions semblent un peu limites, je n’ai aucun regret.

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