Pour ce genre de titre mainstream, ça reste plaisant, et surtout ça correspond aux attentes. Harley Quinn, une des stars de l'ouvrage, est hyper sexualisée et montrée comme une timbrée calculatrice en chaleur, elle en est bien moins sympathique que dans sa propre série New 52, où l'humour abonde au détriment du tragique. Cette Suicide Squad là ne vous laisse pas le temps de souffler et se fixe un résultat et un seul : vous étourdir sous les coups de théâtre, les trahisons, le compte à rebours des bombes implantés dans chacun des membres, pour les faire filer droit. Adrénaline en overdose donc, et pas de temps mort pour souffler.
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