L'avantage quand vous êtes le premier-né de la famille, c'est que c'est vous qui atteignez le premier la barre incroyable et rêvée des mille numéros! Il fallait que cela arrive à un comic book de super-héros, d'atteindre les 4 chiffres! Action Comics fête donc sa millième parution et Superman souffle ses 80 bougies.
Pour l'occasion, vous avez le choix d'une multitude de variant covers, notamment une pour chaque époque du grand héros de DC Comics. A l'intérieur, vous allez trouver de tout, à boire et à manger comme le veut l'expression. Ce sont uniquement des petits récits qui rendent hommage au personnage, à leur manière, ceci avec des auteurs de qualité comme Peter Tomasi, Louise Simonson,Dan Jurgens, Geoff Johns, Tom King, Scott Snyder, ou Paul Dini, et des dessinateurs au talent confirmé, comme Olivier Coipel, Jerry Ordway, John Cassaday, José Luis Garcia Lopez, Norm Rapmund, Curt Swan, Clay Mann ou John Cassaday.
En règle générale, on insiste sur la relation qui unit Superman avec les Terriens : le héros inspire le meilleur de l'humanité, mais il est aussi inspiré par ceux qu'il sauve et qu'il rencontre au quotidien. Ceci est particulièrement bien explicité à plusieurs reprises. Les deux premières petites histoires (de Jurgen et Tomasi) sont aussi fort intéressantes car elles mettent l'accent sur le nouveau statut du héros, homme marié et père du petit Jon. Il a désormais aussi sa propre famille à défendre, il semble avoir gagné alors en maturité, devenant plus attachant que par le passé, si cela est possible. On découvre Superman qui dépasse son propre record de vitesse, pour tenter de sauver une victime d'une balle, qu'elle risque de prendre en pleine tête; ou encore en train de donner une bonne leçon à un bad boy qui avait besoin qu'on le remette à sa place; dans les années 50. Ou dans une discussion intimiste avec Lex Luthor, qui évoque un épisode du passé commun que les deux ennemis ont eu, à Metropolis. Ces petits récits traversent les différentes époques et essaient de fonctionner comme autant de clin d'œil à des ères révolues, mes qui contribuent strates après strates à former ce que nous lisons aujourd'hui. Et forcément les dernières pages sont celles qui introduisent la nouvelle version de Brian Bendis. Croyez-moi, en quelques planches nous découvrons déjà la patte du scénariste phare des dernières années chez Marvel, en terme de dialogues, avec notamment une running joke sur le slip apparent de Superman. Également dans la manière de faire monter la sauce, avec d'entrée un adversaire ultra redoutable à la Doomsday (ou presque...) Bendis montre que le terrain est désormais à lui, et qu'il est arrivé chez DC Comics avec ses tares et ses qualités habituelles. Jim Lee s'occupe du dessin, et même si ses cadrages et ses planches semblent parfois faits en mode automatique, les fans évidemment vont en avoir pour leur argent. 80 ans mais avec encore de nombreuses et prospères années devant lui, Superman nous rappelle à quel point il est incontournable et légendaire. Bon anniversaire. Likez la page Facebook, venez parler comics avec nous
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Les variant covers pour Action Comics #1000
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En règle générale, on insiste sur la relation qui unit Superman avec les Terriens : le héros inspire le meilleur de l'humanité, mais il est aussi inspiré par ceux qu'il sauve et qu'il rencontre au quotidien. Ceci est particulièrement bien explicité à plusieurs reprises. Les deux premières petites histoires (de Jurgen et Tomasi) sont aussi fort intéressantes car elles mettent l'accent sur le nouveau statut du héros, homme marié et père du petit Jon. Il a désormais aussi sa propre famille à défendre, il semble avoir gagné alors en maturité, devenant plus attachant que par le passé, si cela est possible. On découvre Superman qui dépasse son propre record de vitesse, pour tenter de sauver une victime d'une balle, qu'elle risque de prendre en pleine tête; ou encore en train de donner une bonne leçon à un bad boy qui avait besoin qu'on le remette à sa place; dans les années 50. Ou dans une discussion intimiste avec Lex Luthor, qui évoque un épisode du passé commun que les deux ennemis ont eu, à Metropolis. Ces petits récits traversent les différentes époques et essaient de fonctionner comme autant de clin d'œil à des ères révolues, mes qui contribuent strates après strates à former ce que nous lisons aujourd'hui. Et forcément les dernières pages sont celles qui introduisent la nouvelle version de Brian Bendis. Croyez-moi, en quelques planches nous découvrons déjà la patte du scénariste phare des dernières années chez Marvel, en terme de dialogues, avec notamment une running joke sur le slip apparent de Superman. Également dans la manière de faire monter la sauce, avec d'entrée un adversaire ultra redoutable à la Doomsday (ou presque...) Bendis montre que le terrain est désormais à lui, et qu'il est arrivé chez DC Comics avec ses tares et ses qualités habituelles. Jim Lee s'occupe du dessin, et même si ses cadrages et ses planches semblent parfois faits en mode automatique, les fans évidemment vont en avoir pour leur argent. 80 ans mais avec encore de nombreuses et prospères années devant lui, Superman nous rappelle à quel point il est incontournable et légendaire. Bon anniversaire. Likez la page Facebook, venez parler comics avec nous
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