Auteur : Virginie Zéphyr

Editeur : Something Else Editions

Date de parution : 21 mars 2018

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– Résumé –

Enola revient, au bout de six mois, dans la caserne qui l’a vue grandir. Un retour plein d’espoir, mais qui ne va pas se passer comme prévu. Son chef a demandé son transfert à la caserne 61. Quand elle va rencontrer son nouveau lieutenant, Kyle, elle ne se doute pas à quel point sa vie va changer…. Plongez dans l’univers des pompiers de Chicago, où le danger rime avec amour et passion…

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∴ Mon avis ∴

Dans les flammes du désir de Virginie Zéphyr, nous rencontrons Enola, pompier à la Caserne 81, elle y travaille avec son père, son héros. Elle adore travailler avec lui, mais malheureusement lors d’une intervention, il y aura un effondrement et celui-ci mourra. Enola tombera dans une grosse dépression. Après un long arrêt, elle retournera à la caserne, mais son chef décidera de la transférer à la caserne 61. A contre-cœur, Enola y partira. Là-bas, elle y fera la rencontre de son nouveau lieutenant, Kyle Starling, un homme à femmes.

Pour Enola, seul le travail compte, mais l’attirance qui va se créer entre eux va tellement être forte que l’on se demande s’ils vont céder à la tentation. Kyle lui, c’est plus une femme par nuit qu’une femme pour la vie. Énola décidera donc d’entamer une relation avec James, mais est-ce une bonne idée ?? Comment va se dérouler la relation professionnelle et amicale de Kyle et d’Enola ? Vont-ils réussir à se côtoyer tous les jours malgré leur attirance ?? Enola va t’elle continuer sa relation avec James ?? J’ai vraiment adoré ma lecture ! Quand on commence l’histoire, on se plonge directement dans l’univers des pompiers. Plus je lisais et plus je me demandais ce qu’Enola avait pu endurer dans sa jeunesse et de même pour Kyle que c’était-il passé pour qu’il devienne comme il est ?? Si vous aimez les pompiers, plonger au cœur des flammes ! Je vous conseille le roman de Virginie Zéphyr, car son histoire est pleine de rebondissement et de suspense. Mais par contre, je n’avais pas vu venir cette fin, l’auteur est vraiment sadique de nous laisser comme ça.

Aurélie