Maison d'édition: le cherche midi/Pocket
Genre: drame/contemporain
Prix: 8,00€
Pages: 475
Date d'édition: 2016
Résumé
Quand Mia, que l’on surnomme affectueusement Rabbit, entre en maison de repos, elle n’a plus que neuf jours à vivre, même si elle refuse de l’accepter, tout comme ses proches qui assistent, impuissants, au déclin de leur fille, sœur, mère ou amie. Tous sont présents à ses côtés pour la soutenir : Jack et Molly, ses parents, incapables de dire adieu à leur enfant ; Davey et Grace, son frère et sa sœur, qui la considèrent toujours comme la petite dernière de la famille ; Marjorie, sa meilleure amie et confidente ; et enfin Juliet, sa fille de 12 ans, qu’elle élève seule. À mesure que les jours passent et que l’espoir de sauver Rabbit s’amenuise, sa famille et ses amis sont amenés à s’interroger sur leur vie et la manière dont ils vont se construire sans cette femme qui leur a tant apporté. Rabbit est au cœur de ce petit groupe et des préoccupations de chacun de ses membres. Si elle a perdu la bataille, celle-ci ne fait que commencer pour son entourage. Et Rabbit a quelques idées bien particulières pour leur faciliter la tâche. Mais très peu de temps pour les mettre en œuvre...
15/20 Je voulais lire ce livre depuis longtemps. J'avais vu de sublimes avis sur ce livre.Ce que j'ai pensé de "les derniers jours de Rabbit Hayes"? Pour ma part, j'ai apprécié ce livre, mais ce n'est pas non plus un gros coup de cœur. J'ai trouvé qu'il y avait pas mal de longueurs pour ma part. J'en attendais peut être trop de ce roman. Je n'ai pas été énormément touchée par cl'histoire malheureusement. J'ai plus ri que je n'ai eu la gorge serrée.Malgré cela, « Les derniers jours de Rabbit Hayes » est une lecture sympathique. Le livre reste intéressant à lire, avec des personnages sympathiques et attachants. Mais aussi beaucoup d'humour qui rattrape pour moi le manque de moments touchants. Qui sont les personnages de " Les derniers jours de Rabbit Hayes?
Dans l'ensemble j'ai apprécié les personnages de ce roman même si ce sont des personnages assez banaux. En effet on suit une famille lambda qui vit un drame familial. Ils ont tous leur caractère (bien travaillé) et leur petite vie. Ils n'ont rien exceptionnel mais ils restent attachants dans l'ensemble.
Le personnage de Rabbit est bien sûr le personnage principal. La jeune femme est en phase terminale du cancer, il ne lui reste que quelques jours à vivre. Mais étonnamment c'est le personnage que j'ai le moins aimé, je dois avoir un cœur de pierre car elle ne m'a pas vraiment touchée.
Avec les parents de Rabbit c'est beaucoup mieux passé. Ce couple se voile la face, ils ont du mal à accepter la perte de leur fille, mais essaient de rester fort et de porter leur famille à bout de bras dans cet ouragan, qui changera leur vie à jamais.
On découvre aussi le frère et la sœur de Rabbit. Un frère souvent absent qui essaie de rattraper le temps perdu, une sœur qui a du mal à gérer sa famille, à garder la tête hors de l'eau et à accepter la perte de sa sœur. J'ai énormément apprécié aussi ces deux personnages.
On a aussi le personnage de Juillet, qui est la fille de Rabbit. La petite, du haut de ses 12 ans, est une gamine courageuse et dévouée à sa mère. Mais c'est une fillette apeureé de se retrouver orpheline car sa mère la toujours élevée seule. Une gamine attachante et touchante.
Il ne faut pas s'attendre à de l'action, à des rebondissements ou autre dans ce roman. C'est plutôt un roman moment de vie comment cette famille fait face à cette épreuve, comment vont ils s'en relever, comment accepter cette tragédie. Mais aussi des souvenirs de leur vie familiale et de la jeunesse de Rabbit.
Le seul truc qui m'a dérangée dans ma lecture ce sont les passage sur Johnny son amour de jeunesse trop présent pour moi.
Malgré tout ça, j’ai aimé l'histoire de ce livre, J'ai aimé être plongée aux côtés de la famille Hayes durant cette épreuve. Apprendre à mieux connaître Rabbit grâce auw souvenirs de chacun. Mais aussi de voir comment ils font face.
La plume de Anna McPartlin ça donne quoi?
La plume de Anna McPartlin est très agréable à lire. Fluide et pleine d'émotions. Mais malgré le thème du livre qui est la fin de vie, la plume de l'auteure est légère et pleine d'humour. Je me suis surprise à rire plus d'une fois devant mon roman. Mais je déplore quelques longueurs. J'ai apprécié par contre l'alternance de points de vue.En conclusion "les derniers jours de Rabbit Hayes" ça donne quoi? «Les derniers jours de Rabbit Hayes » est dans l'nsemble un bon roman de vie. Même si plusieurs points m'ont déçue notamment les moments sur l'amour de jeunesse de Rabbit ou encore le fait que je n'ai pas été bouleversée par le sort de Rabbit, j'ai quand même fait un beau voyage en compagnie de la famille Hayes.J'ai apprécié accompagner Rabbit et sa famille dans cette douloureuse épreuve qu'est la perte d'un proche. Voir les souvenirs, les anecdotes de chacun. Mais surtout pour moi le plus intéressent reste de voir comment chacun essaie de faire face et d'être la pour accompagner Rabbit durant ses derniers jours de vie.
En bref je vous le recommande malgré quelque points negatifs relatés plus haut j'ai aimé ce livre. Certes l'histoire m'a un peu déçue par moment mais elle reste intéressante et remplie d'émotions. Les personnages sont terce des personnes lambda mais attachantes. Le gros point positif est pour moi la plume de l'auteure que j'ai beaucoup appréciée. Je ne peux que vous le recommander et peut être que vous serez plus touchés que moi, et que les points qui se sont révélés negatifs pour moi seront plus positif pour vous.
Un passage de "les derniers jours de Rabbit Hayes" pour se faire une idée de la plume?
Elle avait accepté cela depuis longtemps : sa mère ne ratait jamais une occasion de faire la pire des gaffes au pire moment. Elle l’avait déjà prouvé un nombre incalculable de fois, mais un des exemples préférés de Rabbit s’était produit des années plus tôt : une vieille voisine qui avait une main artificielle lui avait demandé comment elle se remettait de la mort de sa mère ; Molly avait répondu « Pour être franche, Jean, c’est comme perdre un bras.