Parfois quand on décroche de ce déroulé en mode automatique, pour des séquences qui semblent vouloir prendre la tangente, on se prend à rêver de ce que pourrait être vraiment Deadpool 2, capable de dynamiter tous les genres cinématographiques, y compris sa première version. Mais peine perdue, on se rend vite compte que la recette de la blague au dessous de la ceinture et le gros esprit badass-explosion-ironie abrasive doit régner sans partage, jusque dans les dernières scènes post génériques où Ryan Reynolds nous rappelle qu'il est, lui et Deadpool, la même et unique raison d'exister du projet, à travers tout un réseau d'autoparodie, de clins d'oeils geek/comics culture, d'outrances langagières et de situation, qui peuvent faire rire une fois, mais risquent de vite devenir lassantes, sur la répétition.
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