On a parlé de produit pour teens, et cela se retrouve au niveau de la musique, présente et pompière quand il le faut. Reste les acteurs. Olivia Holt apporte fraîcheur et conviction, mais quand il s'agit de plonger dans la vraie tristesse, ça ressemble quand même à du "basic acting", on peine à partager la peine (répétition volontaire). Aubrey Joseph lui est plus en retenue, au second rang, mais c'est lui qui apparaît comme le plus complexe, celui par qui les choses pourraient bien accélérer, gagner en substance.
Cloak and Dagger a effectué de bons débuts, si on resitue les enjeux et le public visé, mais ne présente qu'assez peu d'intérêt pour les autres tranches de spectateurs, qui y verront là une énième histoire de super-héros qui n'en sont pas, de jeunes super paumés avec des super pouvoirs, à la limite du super banal.
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