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En faisant une rapide recherche sur le blog, j’ai pris conscience que cela fait pratiquement deux années que j’ai découvert l’auteure Sarina Bowen, grâce à Laure Valentin. Deux années… j’ai l’impression que le premier tome est sorti hier !
Dès les premiers instants, je suis tombée sous le charme des histoires de Sarina. Évidemment, il me tardait de lire le dernier tome de la saga « Ivy Years ».
Je remercie Laure Valentin, traductrice de cette fabuleuse saga, pour l’envoi de ce service presse numérique.
Lianne Challice, en première année à l’Université de Harkness, est connue par des millions de fans comme la Princesse Vindi. Mais il arrive parfois qu’une sorcière du grand écran ait simplement envie de raccrocher sa baguette, d’envoyer balader son impresario et de devenir une étudiante comme les autres. Dommage que les choses ne soient pas aussi simples. Sa vie n’a jamais été normale. Elle n’est plus retournée à l’école depuis la maternelle. Et la moindre relation est bien trop risquée pour elle – le dernier garçon qu’elle a embrassé a vendu leur histoire à un tabloïd anglais. Pourtant, elle ne peut résister à l’envie de se rapprocher de Daniel Trevi, surnommé DJ, le garçon aussi beau que ténébreux qui accomplit des merveilles aux platines de la patinoire pendant les matchs de hockey. Quelque chose dans ses yeux noirs l’ensorcelle, et elle est déterminée à en savoir plus. DJ est un génie pour exprimer l’humeur d’une foule par des extraits musicaux de dix secondes. Il lui suffit d’un clic et d’un enchaînement pour transmettre espoir, frisson et exaltation à six mille supporters en délire. Malheureusement, son cursus universitaire s’apprête à connaître la même interruption brutale que l’une de ses chansons. Il ne peut pas se rapprocher de Lianne, et il ne peut pas lui expliquer pourquoi. Quant au fait qu’elle semble s’intéresser à lui ? À peine croyable…
« L’heure de gloire » est le cinquième et dernier tome de la saga « Ivy Years ». Et c’est avec une certaine tristesse que je dis adieu à l’équipe de hockey de Harkness.
Lianne est une célèbre actrice pour adolescent. Sous les feux des projecteurs depuis sa plus tendre enfance, Lianne devrait être habituée à la célébrité toutefois, son trait de caractère dominant est la timidité. Sa rentrée à l’université n’est pas de tout repos, heureusement, elle peut compter sur des amis en or.
Lianne est un personnage qui m’avait intrigué dans « L’heure de vérité » et j’avais hâte de découvrir son histoire. C’est une héroïne touchante parce que malgré sa célébrité, son caractère n’est pas très affirmé. De son agent artistique aux élèves de Harkness, tout le monde lui marche sur les pieds. Et comme beaucoup de gens, le monde virtuel est plus réconfortant que le monde réel. Son seul lien avec les étudiants de l’université est Bella, sa voisine de chambre. Et c’est grâce à Bella que Lianne rencontre Daniel.
Daniel n’a pas pour moi l’étoffe d’un véritable bookboyfriend. Cependant, il véhicule un message important. Grâce à ce couple et surtout ce héros, Sarina Bowen traite des agressions sexuelles sur les campus américains. Les universités américaines sont de petits états dans l’État. Les lois ne sont pas appliquées de façon linéaire, et très souvent ce sont les conseils d’administration universitaire qui se chargent de mener et instruire l’enquête avant d’établir une sanction.
Contrairement aux autres romans, il m’a manqué ce petit quelque chose que j’avais adoré. Lianne et Daniel évoluent en dehors de l’équipe de hockey de l’université. Et c’est le côté fraternité qui m’a fait défaut pour apprécier à n’en pas douter cette romance.
« L’heure de gloire » est sûrement le tome que j’ai le moins apprécié de toute la saga, pourtant c’est une excellente histoire, et « The Ivy Years » reste l’une de mes sagas chouchoutes.
J’attends les prochaines parutions de Sarina Bowen avec la plus grande impatience !
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