Takaku et ses amis étudiants sont bloqués sur une île déserte. Leur rencontre avec un tueur sadique et son père marque le début d’une tragédie sanglante ! Alors qu’ils tentent de survivre à tout prix, un coup de feu retentit ! Un espoir de fuite apparaît sur cet îlot perdu dans l’océan. Les flots de sang et l’angoisse s’invitent dans cette histoire d’horreur sous tension !
J’avais bien aimé le premier tome qui me faisait découvrir une île cauchemardesque où vit un monstre à tête de cochon, qui, à l’aide de sa tronçonneuse, tuait tout le monde sur son passage.
Nous retrouvons Takaku et ses amis qui tentent désespérément d’échapper au monstre et à son père pour survivre. Malheureusement pour eux, le cauchemar ne fait que commencer, car il semblerait que cette île abrite d’autres monstruosités. Lorsque l’instinct de survie entre en jeu, c’est très souvent chacun pour soi et Takaku va en faire la douloureuse constatation.
Le manga est toujours autant gore si ce n’est plus. Chaque dessin est chargé en hémoglobine. Ce thème correspond parfaitement à la boucherie de cette histoire, mais j’ai parfois eu du mal à bien distinguer les traits des personnages tant leurs visages étaient parfois masqués par du sang.
J’ai eu le sentiment que ce tome était très rapide. En effet, il contient de nombreuses scènes de violence très gores et j’ai eu du mal à comprendre réellement la finalité de cette suite. J’ai eu l’impression que l’auteur tentait de charger ses dessins en combat de survie sans leur donner du sens.
En résumé, une suite qui certes nous apporte de nouveaux éléments pour les prochains tomes, mais qui, selon moi, était assez décousue et incohérente dans son cheminement. La seule chose que je retiens, c’est le sang.