A la brigade des crimes et délit sexuels, les jours se suivent et se ressemblent, charriant leur cortège de victimes traumatisées et de pervers sûrs de leurs droits. Pas évident pour Alex Dueso, flic et mère célibataire, de conserver toujours son empathie pour les unes, son sang-froid face aux autres...
Quand soudain les statistiques se mettent à dérailler. Dans ce commissariat du nord de Paris, on n'a jamais vu ça : une succession d'agressions sans précédent vient confirmer l'apparition d'un prédateur d'un nouveau genre...
Mon avis :
Ce bouquin, ça fait une éternité que je voulais le lire. Depuis sa sortie en fait. Tout me plaisait. Rien que le titre, en ébauche d’écriture inclusive.
J'ai enfin eu l'occasion de m'y attaquer, et je ne regrette absolument pas.
Le soir, des victimes sont retrouvées à demi conscientes dans des coins sombres de la ville. Entièrement nues et complètement tabassées, violées. Victimes silencieuses qui se murent dans la honte. Honte que ça leur soit arrivé.
Les agressions sont d'une violence inouïe, du jamais vu. Le ou les coupables sont pétris de haine, de rage, de soif de vengeance surtout.
L’écriture de Louise Mey est clairement addictive. A aucun moment je n'ai eu envie de lâcher ce livre, quand bien même le chapitre faisait 40 pages. J'ai été accro à cette histoire dès les premières pages et surtout jusqu'à la dernière (oh, Marco ♥ )
J'ai absolument tout aimé. L'histoire, les victimes, les coupables, le mobile.
Les ravagé(e)s n'est rien de moins que le polar que j'ai attendu toute ma vie. Louise Mey, je t'aime (bois mes règles).