Mais si, souvenez-vous, je vous ai déjà parlé de Catherine Cusset !
Libres pensées...
Je n'ai certes lu qu'un roman de Catherine Cusset, mais je suis fort fan.
Et en plus, maintenant, avec Vie de David Hockney, ça fait deux.
Pour ce coup-ci, Catherine décide de nimber son récit de mystère dès le choix du titre, qui ne laisse rien présager de ce qui va suivre.
C'est ainsi que, à la surprise générale, son roman retrace le parcours du peintre britannique.
Pour les sinistres ignorants parmi vous, allez vous renseigner par là (en attendant mieux, c'est-à-dire de lire le livre de Catherine Cusset).
Pour les autres, pas la peine de vous la péter, personne n'aime les prétentieux.
Catherine Cusset raconte les origines modestes de l'artiste, son inextinguible soif d'art et sa volonté à toute épreuve pour vivre de sa peinture, le succès rencontré tôt, les affres amoureuses le laissant parfois en manque d'inspiration, le tabou de son homosexualité dans sa famille conservatrice.
J'ai été transportée par ce récit vibrant, qui dépasse la simple biographie de par la perspective apportée à des sujets comme l'homosexualité ou le deuil, ainsi, bien sûr, qu'au sujet de l'art, qui ne quitte jamais le personnage de David Hockney.
L'auteur n'hésite pas à intervenir dans le récit, à s'adresser librement à son lecteur, pour se confier sur son choix d'écrire sur ce peintre qui fascine, ou encore préciser que son travail n'est pas biographique, et qu'elle romance selon son goût, et son interprétation, certains épisodes obscurs de la vie du peintre.
La fraîcheur, l'énergie qui se dégagent du récit contribuent à nourrir l'intérêt du lecteur, qui voudrait en savoir tant et plus sur ce peintre dont il savait si peu, et dont soudain il se sent si proche.
Je n'ai donc qu'un regret : que le roman n'ait pas été plus long...
Pour vous si...
Note finale4/5(très cool)
Libres pensées...
Je n'ai certes lu qu'un roman de Catherine Cusset, mais je suis fort fan.
Et en plus, maintenant, avec Vie de David Hockney, ça fait deux.
Pour ce coup-ci, Catherine décide de nimber son récit de mystère dès le choix du titre, qui ne laisse rien présager de ce qui va suivre.
C'est ainsi que, à la surprise générale, son roman retrace le parcours du peintre britannique.
Pour les sinistres ignorants parmi vous, allez vous renseigner par là (en attendant mieux, c'est-à-dire de lire le livre de Catherine Cusset).
Pour les autres, pas la peine de vous la péter, personne n'aime les prétentieux.
Catherine Cusset raconte les origines modestes de l'artiste, son inextinguible soif d'art et sa volonté à toute épreuve pour vivre de sa peinture, le succès rencontré tôt, les affres amoureuses le laissant parfois en manque d'inspiration, le tabou de son homosexualité dans sa famille conservatrice.
J'ai été transportée par ce récit vibrant, qui dépasse la simple biographie de par la perspective apportée à des sujets comme l'homosexualité ou le deuil, ainsi, bien sûr, qu'au sujet de l'art, qui ne quitte jamais le personnage de David Hockney.
L'auteur n'hésite pas à intervenir dans le récit, à s'adresser librement à son lecteur, pour se confier sur son choix d'écrire sur ce peintre qui fascine, ou encore préciser que son travail n'est pas biographique, et qu'elle romance selon son goût, et son interprétation, certains épisodes obscurs de la vie du peintre.
La fraîcheur, l'énergie qui se dégagent du récit contribuent à nourrir l'intérêt du lecteur, qui voudrait en savoir tant et plus sur ce peintre dont il savait si peu, et dont soudain il se sent si proche.
Je n'ai donc qu'un regret : que le roman n'ait pas été plus long...
Pour vous si...
- Vous vous demandez comment un jeune garçon sans relations, issu des milieux populaires du nord de l'Angleterre peut devenir le peintre que l'on sait.
- Vous ne vous formalisez pas des libertés prises par un auteur.
Note finale4/5(très cool)