Allez, on ne va pas se mentir : ces derniers temps, le blog, il avait à peu près cette tête-là.
Pas le temps, pas toujours les sujets à aborder aussi… Depuis le début de l’année, je me donne entièrement dans le travail et cela prend quasiment toute ma concentration et mon énergie.
Rédaction de résumés, un long intérim à faire tourner l’agence d’un client/collègue/boss en vacances (où j’ai eu l’occasion de traduire des articles et témoignages qui font réfléchir pour le Huffington Post, super expérience franchement)… Je n’ai pas vu passer l’été. Le concept de congés/break/pause/relaxation et tout le champ lexical qui s’y rattache commencent à me paraître assez abstraits : addict un jour, addict toujours et je deviens sans doute une jolie petite workaholic !
Mais le boulot, encore et toujours, m’amène à lire et réfléchir, notamment sur ma carrière : c’est l’avantage de résumer des bouquins ! Mon dernier livre m’a notamment rappelé l’importance des blogs, mais aussi le plaisir et la passion qu’on pouvait y mettre.
Avec mes petites envies de journalisme et ma passion pour la politique, la psychologie, le bien-être et tout ce qui touche autant à l’être humain qu’à la société, il y aurait quelque chose à creuser là-dedans. Quoi ? Qui a dit « temps » et « investissement » ? Non, j’ai dû mal entendre.
Du coup, je sors un peu de ma tanière et passe la tête sur le blog pour… OK, d’abord éternuer un bon coup, qu’est-ce qu’il y a comme poussière (virtuelle) ici… justement, pour le dépoussiérer un peu, pourquoi pas ?
Cette belle initiative durera peut-être une heure, un jour ou une semaine, qui sait. Pour y aller en douceur, je m’amuse aussi sur Twitter qui a l’avantage de la brièveté… Une présence sociale certes, mais par petites bouchées !
À part ça, guère de lectures ou de visionnages intéressants à rapporter, je le crains. Je suis sur Chateaubriand depuis des mois déjà : qu’est-ce que je suis allée faire dans cette galère ! Un jour peut-être, j’apprendrai que la découverte d’un auteur, c’est bien, le choix d’une énorme autobiographie en intégrale sur laquelle s’obstiner vaille que vaille, c’est déjà nettement moins intelligent.
Bonjour donc à qui a encore la fantaisie de me lire, et à bientôt peut-être… qui sait ?
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