Bonjour à tous, après avoir lu le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates, j'ai eu envie de lire d'autres romans épistolaires. Grâce à facebook, j'ai eu deux titres que j'ai commandé aussitôt. Je vous livre donc mon avis sur le premier d'entre eux, Eux sur la photo d'Hélène Gestern aux éditions Arléa. ![[Chronique]Eux sur la photo d'Hélène Gestern](https://media.paperblog.fr/i/874/8749243/chroniqueeux-sur-photo-dhelene-gestern-L-Iefxd0.jpeg "[Chronique]Eux sur la photo d'Hélène Gestern")
J'avais envie de lire des romans épistolaires. J'ai toujours aimé écrire des lettres. Je me souviens d'en avoir écrit au collège ou au lycée. J'avais un peu continué avec le Postcrossing sous forme de carte postale. Je suis donc ravie d'avoir croisé la route d'Eux sur la photo d'Hélène Gestern, roman recommandé sur facebook à travers une question sur un groupe de lecture. J'en ai également commandé un autre. Eux sur la photo permet d'allier les lettres (tombées un peu en désuétude dans notre mail du numérique) et la photographie (qui subit presque le même sort et dont on garde moins de tirage qu'avant). C'est un roman de 2011 mais qui est très actuel. La photographie va permettre à Hélène de chercher la vérité sur sa mère qui est morte alors qu'elle était très jeune. Les lettres vont lui permettre de reconstituer cette histoire. Il s'agit d'une quête de la vérité avec des indices bien petits et des hasards heureux pour démêler l'ensemble. Nous allons de l'Angleterre, à Paris en passant par Genève, Saint-Malo, Besançon et Hawaï. J'ai adoré suivre le cheminement d'Hélène et de Stéphane (dont le père se trouve être sur une photographie et bien proche de la mère d'Hélène). Ces lettres permettent d'aborder quelques thèmes récurrents comme les secrets de famille, l'amour ou encore la peur du scandale. Rappelons que la mère d'Hélène a vécu dans les années 60-70. Vous pourriez me dire que ce sont des thèmes trop fréquents pour être encore intéressants mais l'ensemble des éléments permettent de rendre ce roman unique en son genre, d'abord par les lettres ou autres documents joints, par l'histoire qui se noue entre les deux héros, par la recherche psychologique importante qu'a dû mener l'auteur. Le style de l'auteur m'a donnée envie de tourner les pages pour savoir la suite et je l'ai lu très rapidement, ce qui prouve que c'est réussi !
En résumé : Un roman épistolaire où la photographie a une place très importante à lire pour les amateurs des deux !
Présentation :
Titre : Eux sur la photo Auteur : Hélène GesternEdition : ArléaGenre : Épistolaire / ContemporainNombre de pages : 301 pagesRésumé :
Une petite annonce dans un journal comme une bouteille à la mer. Hélène cherche la vérité sur sa mère, morte lorsqu’elle avait trois ans. Ses indices : deux noms, et une photographie retrouvée dans des papiers de famille qui montre une jeune femme heureuse et insouciante, entourée de deux hommes qu’Hélène ne connaît pas. Une réponse arrive : Stéphane, un scientifique vivant en Angleterre, a reconnu son père.Mon avis :
J'avais envie de lire des romans épistolaires. J'ai toujours aimé écrire des lettres. Je me souviens d'en avoir écrit au collège ou au lycée. J'avais un peu continué avec le Postcrossing sous forme de carte postale. Je suis donc ravie d'avoir croisé la route d'Eux sur la photo d'Hélène Gestern, roman recommandé sur facebook à travers une question sur un groupe de lecture. J'en ai également commandé un autre. Eux sur la photo permet d'allier les lettres (tombées un peu en désuétude dans notre mail du numérique) et la photographie (qui subit presque le même sort et dont on garde moins de tirage qu'avant). C'est un roman de 2011 mais qui est très actuel. La photographie va permettre à Hélène de chercher la vérité sur sa mère qui est morte alors qu'elle était très jeune. Les lettres vont lui permettre de reconstituer cette histoire. Il s'agit d'une quête de la vérité avec des indices bien petits et des hasards heureux pour démêler l'ensemble. Nous allons de l'Angleterre, à Paris en passant par Genève, Saint-Malo, Besançon et Hawaï. J'ai adoré suivre le cheminement d'Hélène et de Stéphane (dont le père se trouve être sur une photographie et bien proche de la mère d'Hélène). Ces lettres permettent d'aborder quelques thèmes récurrents comme les secrets de famille, l'amour ou encore la peur du scandale. Rappelons que la mère d'Hélène a vécu dans les années 60-70. Vous pourriez me dire que ce sont des thèmes trop fréquents pour être encore intéressants mais l'ensemble des éléments permettent de rendre ce roman unique en son genre, d'abord par les lettres ou autres documents joints, par l'histoire qui se noue entre les deux héros, par la recherche psychologique importante qu'a dû mener l'auteur. Le style de l'auteur m'a donnée envie de tourner les pages pour savoir la suite et je l'ai lu très rapidement, ce qui prouve que c'est réussi !
En résumé : Un roman épistolaire où la photographie a une place très importante à lire pour les amateurs des deux !