De Vi Keeland
Paru le 9 novembre 2016
Chez City édition – Eden
283 pages
17,90€
La vie d’Ella a tout pour plaire : un job d’avocate, un bel appartement et un mec très gentil. Un peu trop gentil, même… Leur relation amoureuse manque sérieusement de piment. Elle s’ennuie à mourir, mais elle ne veut surtout pas bousculer cette vie bien rangée et réveiller ses démons cachés. Jusqu’à ce que le beau Nico Hunter pousse la porte de son cabinet d’avocat et entre dans son existence.
Jamais un homme ne lui avait fait cet effet, à elle, la douce et belle avocate. Le bad boy, une star des combats de street-fighting, va changer sa vie. Car les deux amants ont bien plus en commun qu’ils ne le croient. Plus ils s’attachent et plus il devient important de partager leurs épreuves passées. Et sont-ils prêts à perdre le contrôle de leurs sentiments pour vivre pleinement leurs désirs ?
Vi Keeland fait partie de mes auteures favorites et sa saga « The fighter » est l’une des seules que je n’ai pas encore lue. Après la petite déception qu’avait été « Beat« , j’avais un peu peur de me lancer dans ses sorties plus anciennes. T
Le style de Vi Keeland m’a encore une fois accrochée dès les premières pages et j’ai tout de suite su qu’on retrouverait ce qui fait sa particularité : Vi Keeland est l’une des spécialistes des romances où se rencontrent légèreté et émotions. Tous ses personnages ont un passé compliqué avec lequel ils se battent encore et toujours à l’âge adulte. Ce sont leurs passés qui font qu’ils sont qui ils sont et qui les rend si humains. The fighter for love n’a pas dérogé à la règle et encore une fois, c’est un succès. Je me suis immédiatement attaché aux personnages, ce qui est une des premières conditions pour me faire aimer un roman.
Ella, pour qui la violence était quotidienne durant son enfance, se réfugie dans ses habitudes et « ce qui est bien ». Elle sort avec William, un homme qu’elle décrit elle-même comme gentil mais qui est loin de la faire vibrer. Et tant mieux, parce que pour Ella, la simplicité est le mot d’ordre, ce qui l’empêchera de tomber dans le danger. Et la première chose qu’on puisse dire c’est que Nico Hunter incarne la définition même de danger.
Nico était un combattant de MMA au meilleur de son niveau lorsqu’un homme est mort sous ses coups, un an plus tôt. Depuis, Nico n’est pas retourné dans une cage et entend bien continuer de cette façon. Quand il rencontre Ella, c’est une évidence. « Celle là, il faut la mériter ». On ressent tout de suite tout ce qu’Ella apporte de positif à sa vie, et inversement. Sous ses airs de gros dur, Nico est un vrai nounours.
L’histoire entre Ella et Nico m’a donné des papillons dans le ventre pendant toute ma lecture et m’a laissé un sourire idiot au visage une bonne paire de fois ! C’est une excellente surprise après la déception qu’à été « Beat » et j’ai déjà hâte de lire le deuxième tome, centré sur Vinny, un personnage secondaire de « The fighter for love ».
☆☆☆☆☆