Bonjour à tous, j'espère que vous allez bien ? Aujourd'hui, je viens vous parler d'Inuuneq de Fiji en auto-édition. Je vous laisse lire le résumé. Vous trouverez mon avis un peu plus bas. Je vous rappelle que j'ai déjà lu le premier roman de Fiji, De vieux potes. Vous pouvez retrouver la chronique ICI. ![[Chronique]Inuuneq de Fiji](https://media.paperblog.fr/i/876/8767955/chroniqueinuuneq-fiji-L-07ao2L.jpeg "[Chronique]Inuuneq de Fiji")
Antoine lui, est sans abri. Il navigue de jour en jour entre galères et aventures, dans une société parfois belle, parfois hideuse cantonnant son quotidien au mot « survivre ».
Ce matin d’hiver, ils vont se rencontrer, parce qu’il pleure et qu’il se sent seul et parce qu’elle ne peut pas rester indifférente devant sa tristesse, parce qu’elle réalise que lui parler c’est le moins qu’elle peut faire et parce qu’il sait que pour continuer à exister il doit garder un lien.
Jusqu’au jour de l’accident…
Ceux qui l’ont croisé partiront à la recherche de son passé et devront décider de lui rendre. Mais sera-t-il encore possible que la société s’intéresse à lui en dehors de tout système marchand ou politique ?
Présentation :
Titre : InuuneqAuteur : Fiji Edition : Auto-éditionGenre : ContemporainNombre de pages : 292 pagesRésumé :
Déborah, une « millennial » américaine exilée à Paris a du mal dans son travail. En poste dans une start-up, sa vie se résume à arriver tôt pour organiser la journée de son équipe, apprendre le français et affronter un collègue agressif et odieux.Antoine lui, est sans abri. Il navigue de jour en jour entre galères et aventures, dans une société parfois belle, parfois hideuse cantonnant son quotidien au mot « survivre ».
Ce matin d’hiver, ils vont se rencontrer, parce qu’il pleure et qu’il se sent seul et parce qu’elle ne peut pas rester indifférente devant sa tristesse, parce qu’elle réalise que lui parler c’est le moins qu’elle peut faire et parce qu’il sait que pour continuer à exister il doit garder un lien.
Jusqu’au jour de l’accident…
Ceux qui l’ont croisé partiront à la recherche de son passé et devront décider de lui rendre. Mais sera-t-il encore possible que la société s’intéresse à lui en dehors de tout système marchand ou politique ?