L’amour de Lexie et Austin sera-t -il assez fort
pour les réunir envers et contre tout ?

Après avoir découvert le terrible secret d’Austin, Lexie décide de mettre un terme à leur relation fusionnelle et de quitter Mary Island. Elle laisse derrière elle sa grand-mère pour découvrir les joies de la vie étudiante à New York : colocation, premier travail et nouvelles rencontres.

C’est une nouvelle Lexie plus sûre d’elle et désireuse de mettre fin aux non-dits dont elle a été victime qui se met en quête du demi-frère dont elle a découvert l’existence avant de partir. Mais Lexie aura-t-elle le courage de lui révéler la vérité en découvrant qu’il est loin d’être le frère idéal qu’elle avait fantasmé ? Quant à Austin, alors qu’elle fait tout pour l’oublier, il pourrait bien ressurgir dans sa vie et mettre à mal sa décision de passer à autre chose. Alors que leur passion a été balayée par des révélations fracassantes, Lexie et Austin sauront-ils se retrouver ?

Je suis amoureux. Indéniablement. Et ça fait foutrement mal.

IL S’AGIT DU 2ÈME TOME DE LA SAGA. LA CHRONIQUE PEUT
DONC CONTENIR DES SPOILERS SUR LE TOME PRÉCÉDENT.

Sachez que je suis au courant de l’histoire de plagiat. Ce livre est un service presse. Je me suis engagée auprès de la ME à lire les livres qu’elle m’envoie en échange d’une chronique. Je ne cautionne en aucun cas le fait de plagier des textes d’autres auteurs. Cependant, je ne possède pas les compétences juridiques pour me permettre d’accuser une personne sur de tels agissements. Je laisse le service juridique de la ME faire son travail et apporter une réponse aux lecteurs. S’il s’agit bel et bien d’un plagiat reconnu par la loi, alors je ne lirais plus les romans de cette auteur et mentionnerais le plagiat sur chacune de mes chroniques. 

Je remercie Morgane et les Éditions HUGO ROMAN. Le 1er tome avait été un coup de coeur et j’avais hâte de suivre les aventures de Lexie et d’Austin. Malheureusement, cette suite m’a beaucoup déçue.

Après la violente dispute entre Lexie et Austin, cette dernière se retrouve internée dans un hôpital psychiatrique afin de se remettre des différentes révélations auxquelles elle a dû faire face. Par la suite, elle part vivre à New York en collocation avec sa meilleure amie Zara pour tenter de se reconstruire et en apprendre plus sur son frère Léo. Mais Austin n’est jamais bien loin et quand il passe quelques jours à New York, les souvenirs de leur relation fusionnelle refont surface. Lexie et Austin s’aiment toujours autant, mais leur amour est destructeur.

J’avais hâte de retrouver ces deux personnages aux caractères explosifs. Cependant j’ai été vite lassée par cette suite. J’aime les histoires de « Je t’aime, moi non plus » mais quand les disputes concernent une majorité, si ce n’est, tout le roman, je dis STOP. Le début était prometteur, mais j’ai vite commencé à lever les yeux au ciel face aux agissements des personnages.

Lexie est tout bonnement INSUPPORTABLE. À la fois instable, susceptible, vulgaire et gueularde. J’avais envie de lui dire de se calmer et d’apprendre à relativiser. Sans compter qu’une scène qui se veut émouvante s’est vite transformée en partie de jambes en l’air sans lien avec le contexte. Je n’ai pas du tout compris la façon de réagir de Lexie qui devait être dans un état émotionnel fragile, mais qui, malgré l’événement tragique, arrive encore à avoir envie de coucher avec Austin…

Austin, parlons-en. Maturité : 0%, Jalousie : 100%, Bagarreur : 150%… Il cogne à tout bout de champ au lieu de discuter et d’écouter. Il se contente d’être jaloux, blessant envers Lexie et se comporte comme un parfait matcho immature. Le seul point positif : Sacha. Ce petit garçon est attendrissant et nous donne envie de prendre soin de lui.

Vous l’aurez compris. Je suis profondément déçue par cette suite qui traine en longueur et comporte uniquement des scènes de ménage avec des disputes futiles entre Lexie et Austin. Je ne compte pas lire le 3ème tome rapidement, car j’ai besoin de souffler. C’est dommage, car les citations sont toujours aussi belles. Mais l’histoire en elle-même manque de profondeur. 

MON AUSTIN