Editeur : Pocket
Genre : Thriller, drame
Parution : 1993
Pages : 706
En décrochant une bourse à l’université de Hampden, dans le Vermont, Richard Papen ne laisse pas grand chose derrière lui : la Californie, qui lui déplaît ; son adolescence, faite de souvenirs incolores ; et ses parents, avec qui il ne s’entend pas. Hampden est une porte de sortie inespérée, l’opportunité de vivre une nouvelle vie. Passées quelques semaines, il est bientôt attiré par un professeur atypique, Julian Morrow, esthète capricieux qui enseigne les lettres classiques à cinq étudiants apparemment très liés. Contre l’avis de ses professeurs, il tente de s’introduire dans le groupe de ces jeunes gens marginaux sur qui courent les plus folles rumeurs. Et il est loin d’imaginer ce que lui coûtera sa curiosité.
Ma chronique va être assez brève, tout simplement parce que je n’ai pas fini ce roman. Pour faire simple : c’était long et laborieux. Je me suis rarement autant ennuyée en lisant un livre, surtout que celui-ci fait plus de 700 pages !
Je ne suis pas une fana de l’action, mais j’aime quand un roman me donne quelque chose à me mettre sous la langue. Parce que là j’ai été plus que frustrée avec cette histoire qui n’avance pas ! L’autrice prend trop son temps, ce qui fait que mon envie d’en savoir plus s’est estompée avec le nombre de pages…
Les personnages ne sont pas intéressants, pas attachants (même si c’est logique pour ce point). Mais je n’avais pas de quoi m’accrocher pour continuer ma lecture. J’ai abandonné à la moitié… Pourtant le thème du livre était plutôt sympa avec cette ambiance d’université américaine et de sombre secret. Malheureusement, c’est un flop pour moi.
Grosse déception avec ce roman qui me faisait pourtant de l’œil. Beaucoup trop long et soporifique pour me motiver à le finir. Je ne retenterais pas un roman de l’autrice.