#116 On s'aimera

#116 On s'aimera

Auteur : Clémentine Célarié
Edition : Mon Poche
Nombre de pages : 381 

#116 On s'aimera              Une famille engluée dans sa richesse matérielle – smartphones, écrans divers et autres symboles du " progrès " de la technologie – se retrouve soudain bloquée dans sa luxueuse maison par une violente tempête de neige. 
       Pour survivre, chacun sera obligé de se souvenir de l'humain qu'il est ; le père, la mère et les trois enfants devront réapprendre à se parler, à s'écouter, à se regarder, à se toucher, à s'aimer...
#116 On s'aimera
       Merci aux éditions Mon poche de leur confiance.
       La quatrième de couverture résume très bien cette histoire. Malgré que cette chronique ne sera pas forcément élogieuse car je n’ai pas du tout accroché à cette aventure que nous propose Clémentine Célarié.
       Nous suivons une famille, plus précisément l’évolution de leurs relations entre frères, sœurs, parents et enfants car les couples sont séparés. Donc nous avons à faire à une famille décomposée comme nous en trouvons partout aujourd’hui. MAIS qui bizarrement se réunit exceptionnellement. 
       Je ne me suis pas attaché aux protagonistes, sauf au petit garçon qui est vraiment tout choupi mais sinon, ils m’ont ennuyé. Comment vous dire ? Vous voyez le genre de roman que vous lisez mais qui ne vous provoque pas de papillon, qui ne vous donne pas envie de lire la suite car il n’y a aucun rebondissement majeur... Bah j’ai eu cette sensation. Ma curiosité a aidé et parce qu’en tant que chroniqueuse, je me suis toujours dit qu’il fallait finir le roman pour faire un avis sincère, complet le plus possible même si tu ne l’aimes pas, je ne vous dis pas comment j’ai eu du mal.
       Ce roman est médiocre par rapport à pas mal de romans que j’ai lus. Je ne suis personne pour juger qui que ce soit, mais je me dois de vous donner mon ressenti. Il y a des passages totalement non réalistes, d’autres loufoques. La plume n’a pas l’air sincère ni inspirée sauf à un certain passage qui se fait rare malheureusement. La quatrième de couverture n’est qu’une façon d’attirer le lecture car en aucun cas on ne s’intéresse à la résolution de l’enfermement comme dit dans le résumé... 
       C’est un huis clos, certes mais en fait, on voit juste une famille décomposée se recomposer justement. Ni plus ni moins.  La fin est quant à elle surprenante mais cela n’est arrivé que tardivement.
       En bref, je vais m’arrêter de dire ce que je pense sur ce roman car il n’était pas folichon. Je n’ai pas aimé. Malgré toute la motivation de l’auteur, je pense, qu’il aurait fallu plus imagée, plus vivre à la place de ses protagonistes. Je le conseille aux personnes qui aiment les romans contemporains et qui veulent voir des relations évoluées sinon vous pouvez passer votre chemin.