On commence par une charmante jeune femme dont j'apprécie les œuvres (et je suis admirative de sa plastique de rêve) : On - Joyce Jonathan
" On est tant, on est tout, on est si peu de choses
Et tellement tout qu'on ne sait plus très bien pourquoi on joue
On se laisse, on se lasse, on abandonne vite à la surface
Et quand tout dégringole (quand tout dégringole) on se carapace
J'tape plus fort
Et je passe à tabac tous mes remords
Je me battrai sans abîmer personne
Et je branche tout sur On and On and On and On and On
J'tape plus fort
Quand au fond de la poitrine ça cogne
Je prendrai soin de n'abîmer personne
Et je branche tout sur On and On and On and On and On
On se pare, on se marre, on s’égare en chemin, on redémarre
On se met mal pour un soir juste pour voir
On s'éteint, on s’épaule, on repousse les trains, on tient des rôles
Et ma main dans la tienne me fait du bien..."
et on continue par un monsieur à la voix si reconnaissable parmi tant d'autres : Hope - Gaëtan Roussel