Chaque semaine, nous vous proposons des critiques rapides des séries publiées par IDW Publishing que nous suivons régulièrement. Cette semaine, on parle de Batman/The Maxx: Arkham Dreams, Teenage Mutant Ninja Turtles et Transformers: Unicron.
Batman/The Maxx: Arkham Dreams #2
IDW Publishing * Par Sam Kieth * $3.99
Vous n'avez pas lu The Maxx ? Je n'ai pas lu la série entièrement et, de ce fait, je ne suis pas certain de comprendre la fin du numéro. En tout cas, Sam Kieth ne voit pas cette rencontre avec Batman comme une parenthèse ou une histoire hors-continuité, nous sommes dans une suite étrange de sa série culte. Mais, il en profite pour faire également une sorte de suite à Batman: Secrets, la mini-série qu'il avait écrite et dessinée en 2007. De ce fait, c'est assez compliqué à suivre tout en étant très méta - mais l'univers du Outback permet cela, pourtant la magie opère notamment lorsque Batman affronte le Joker sur une nageoire d'une baleine géante.
Teenage Mutant Ninja Turtles #87
IDW Publishing * Par Tom Waltz, Bobby Curnow, Kevin Eastman & Dave Wachter * $3.99
L'Agent Bishop attaque l'île où se sont réfugiés les Triceratons et les Utroms. Mais les Tortues Ninjas - aidés des Mutanimals - sont bien déterminés à intervenir et empêcher l'Agent à éradiquer les extra-terrestres. L'épisode a un rythme assez particulier avec des moments dramatiques qui sont entrecoupés de longues scènes de dialogue ne servant pas tant que ça la mise en place. Seule la scène dans l'intimité de Bishop apporte réellement quelque chose à l'histoire. Sinon, comme d'habitude, l'histoire globale est franchement excellente.
Transformers: Unicron #5
IDW Publishing * Par John Barber & Alex Milne * $3.99
Il y a beaucoup de monde dans cet épisode, encore plus que le précédent... Mais ce n'est pas ça qui empêche d'apprécier l'histoire de John Barber. Le scénariste écrit un véritable moment de désespoir avec les personnages qui sont prêts tour à tour à se sacrifier s'il le faut. C'est bien écrit et le travail de Alex Milne est franchement impeccable parce qu'en plus de devoir gérer un casting très large et différent, il dessine des mécaniques superbes et des shots impressionnants.