"Jamais je n'ai eu si peur de perdre pied. Et si envie de tout donner."
Green Emma
280 pages
Éditions Addictives (2018)
Collection adult romance
« Voilà de quel genre d’homme on a besoin dans sa vie, ma jolie. Peu importent ses défauts, ses imperfections. Peu importe qu’il parle peu, qu’il travaille trop, qu’il ne débarrasse pas le couvert ou qu’il oublie les anniversaires. Rien d’autre ne compte que la profondeur du regard, l’assurance de la voix et la pureté du cœur. Et des mains assez fortes pour toujours vous serrer, vous retenir. »
Mon avis :
Si je me suis penchée sur ce titre des auteures Emma Green en particulier, c’est parce qu’il me semblait plus court que ceux qu’elles proposent habituellement et, dans un style très différent. Ma lecture n’a fait que confirmer mon ressenti sur cet ouvrage : une histoire douce autour de protagonistes atypiques touchants et captivants.
Juliette Solal se retrouve, à vingt-sept ans, sans domicile fixe du jour au lendemain à cause d’une mère incompétente, totalement obnubilée par un petit ami plus jeune, qui préfère faire passer ses envies avant sa propre fille. Après une énième magouille de celle-ci, un huissier se présente à la porte de Juliette l’intimant de quitter les lieux sans délai. Déboussolée, mais également en colère contre sa mère, la jeune femme n’a nulle part où se rendre, mise à part une adresse que sa mère lui fournit bon gré mal gré d’une maison qu’elle posséderait en viager. C’est ainsi qu’elle se retrouve à Montmartre, devant une somptueuse demeure à s’interroger sur la véracité des propos de sa mère lorsqu’elle est interpellée par Suzanne Deschanel, la personne âgée vivant dans l’hôtel particulier et se retrouve aussitôt, sans le préméditer, employée comme dame de compagnie.
Juliette est une jeune femme pétillante, passionnée de musique, ne vivant et ne respirant qu’à travers les chansons qu’elle fredonne à longueur de journée. Elle va très vite se lier avec Suzanne qu’elle considère rapidement comme sa propre grand-mère. Elle a enfin le sentiment d’appartenir à une famille, émotion qu’elle n’est jamais parvenue à trouver auprès de sa mère. Suzanne, de son côté, est une grand-mère de quatre-vingt-quatre ans. Ancienne comédienne, Suzanne croque la vie à pleines dents. Elle profite de chaque journée avec joie et gourmandise. C’est une grand-mère comme on en aimerait tous avoir : amusante, agréable, vive et jeune d’esprit. Je l’ai adorée. Et puis, il y a Laszlo que l’on prend aussi plaisir à découvrir. Une romance ne serait pas si addictive sans un protagoniste sombre, torturé et intriguant. L’attirance entre eux est immédiate et, un rapprochement inévitable. J’ai aimé leurs petites chamailleries. Et, j’ai vraiment apprécié l’équipe qu’ils forment malgré leurs différences.
(Im)Parfait est une lecture vraiment très douce. Dès les premières pages, nous entrons dans un univers envoûtant, où la musique prend une place importante. C’est léger, c’est touchant et drôle à la fois. Un livre qui m’a totalement séduite.
★★★★☆
Stéphanie
Derrière les livres d’Emma Green, il y a en réalité deux auteures, deux belles plumes françaises qui ont développé très tôt le goût d’inventer des histoires intenses et addictives.
Green Emma
280 pages
Éditions Addictives (2018)
Collection adult romance
Juliette chante l’amour tous les soirs dans son piano-bar. Sans trop y croire. Quand la jeune artiste parisienne se retrouve à la rue, elle accepte une drôle de mission : jouer les dames de compagnie pour une grand-mère guindée et mal en point, en lui chantant tous ses airs préférés.Extrait :
Mais une nuit, un inconnu vient s’installer juste sous les toits, au dernier étage de cet hôtel particulier perché sur les hauteurs de Montmartre : un mystérieux brun aux cheveux longs, à la barbe mal taillée, au regard noir et au verbe rare.
Entre Juliette, la chanteuse libre et romantique, Suzanne, la vieille dame snob et attachante, et Laszlo, le ténébreux aussi sexy que dangereux, cette colocation forcée s’annonce… compliquée.
Et parfaitement imparfaite.
« Voilà de quel genre d’homme on a besoin dans sa vie, ma jolie. Peu importent ses défauts, ses imperfections. Peu importe qu’il parle peu, qu’il travaille trop, qu’il ne débarrasse pas le couvert ou qu’il oublie les anniversaires. Rien d’autre ne compte que la profondeur du regard, l’assurance de la voix et la pureté du cœur. Et des mains assez fortes pour toujours vous serrer, vous retenir. »
Mon avis :
Si je me suis penchée sur ce titre des auteures Emma Green en particulier, c’est parce qu’il me semblait plus court que ceux qu’elles proposent habituellement et, dans un style très différent. Ma lecture n’a fait que confirmer mon ressenti sur cet ouvrage : une histoire douce autour de protagonistes atypiques touchants et captivants.
Juliette Solal se retrouve, à vingt-sept ans, sans domicile fixe du jour au lendemain à cause d’une mère incompétente, totalement obnubilée par un petit ami plus jeune, qui préfère faire passer ses envies avant sa propre fille. Après une énième magouille de celle-ci, un huissier se présente à la porte de Juliette l’intimant de quitter les lieux sans délai. Déboussolée, mais également en colère contre sa mère, la jeune femme n’a nulle part où se rendre, mise à part une adresse que sa mère lui fournit bon gré mal gré d’une maison qu’elle posséderait en viager. C’est ainsi qu’elle se retrouve à Montmartre, devant une somptueuse demeure à s’interroger sur la véracité des propos de sa mère lorsqu’elle est interpellée par Suzanne Deschanel, la personne âgée vivant dans l’hôtel particulier et se retrouve aussitôt, sans le préméditer, employée comme dame de compagnie.
Juliette est une jeune femme pétillante, passionnée de musique, ne vivant et ne respirant qu’à travers les chansons qu’elle fredonne à longueur de journée. Elle va très vite se lier avec Suzanne qu’elle considère rapidement comme sa propre grand-mère. Elle a enfin le sentiment d’appartenir à une famille, émotion qu’elle n’est jamais parvenue à trouver auprès de sa mère. Suzanne, de son côté, est une grand-mère de quatre-vingt-quatre ans. Ancienne comédienne, Suzanne croque la vie à pleines dents. Elle profite de chaque journée avec joie et gourmandise. C’est une grand-mère comme on en aimerait tous avoir : amusante, agréable, vive et jeune d’esprit. Je l’ai adorée. Et puis, il y a Laszlo que l’on prend aussi plaisir à découvrir. Une romance ne serait pas si addictive sans un protagoniste sombre, torturé et intriguant. L’attirance entre eux est immédiate et, un rapprochement inévitable. J’ai aimé leurs petites chamailleries. Et, j’ai vraiment apprécié l’équipe qu’ils forment malgré leurs différences.
(Im)Parfait est une lecture vraiment très douce. Dès les premières pages, nous entrons dans un univers envoûtant, où la musique prend une place importante. C’est léger, c’est touchant et drôle à la fois. Un livre qui m’a totalement séduite.
★★★★☆
Stéphanie
Derrière les livres d’Emma Green, il y a en réalité deux auteures, deux belles plumes françaises qui ont développé très tôt le goût d’inventer des histoires intenses et addictives.