Auteur : Elise Fischer
Edition : De Borée
Nombre de pages : 362
Anaïs, jeune pianiste, file le parfait amour avec Nathanaël, violoniste. Quand elle tombe enceinte, c'est tout naturellement qu'ils envisagent de se marier. Mais la mère de Nathanaël s'y oppose fermement. Il se pourrait que les raisons de ce refus remontent à la Seconde Guerre mondiale et aux rôles joués par chacune de ces deux familles...
Un secret de famille menace les rêves de bonheur d'une jeune virtuose...
Merci aux éditions De Borée pour leur confiance.
Anaïs vit chez sa grand-mère suite au décès de sa mère et aussi parce que son père n’a pas le temps de s’occuper d’elle. Lors d’une invitation à un conservatoire, elle va rencontrer l’amour avec un grand A : Nathanaël. Seulement, la famille de celui-ci ne veut pas en entendre parler. Rien n’est simple même quand le coup de foudre fait son apparition.
Je ne suis pas fan de ce genre de roman mais je me suis pourquoi pas essayé de lire une histoire d’amour qui a l’air toute mignonne. Seulement, je n’ai pas autant accroché que je l’aurai voulu à ce roman malgré qu’il soit vraiment beau. Il a un soupçon de polar et un peu historique, je l’ai classé dans historique en premier lieu.
L’histoire est complexe et simple à la fois... Complexe car les secrets qui se mêlent de l’intrigue sont nombreux et si l’on ne suit pas, on risque de s’y perdre mais simple car elle est vraiment belle. L’histoire est belle et simple.
La plume est fluide, les descriptions très bien détaillées, juste assez en tout cas pour nous imaginer à cet endroit en même temps que nos protagonistes. Cette histoire m’a fait de la peine et après j’ai été émue par les messages véhiculés par l’auteur. Car oui, elle montre la force de l’amour, du courage et la force de pardonner des choses qui sont parfois impardonnables, par amour toujours. Ces mots peuvent paraître cucul la praline mais je ne trouve pas que ce roman en fait partie.
L’auteur montre aussi l’importance de la musique. Personnellement je ne peux pas vivre sans musique, il faut que j’entende une chanson au moins une fois dans la journée sinon je déprime un peu.
En bref, ce fut une belle histoire qui peut attendrir les petits cœurs qui ont parfois du mal même si l’on ne frôle pas, heureusement, l’histoire cucul la praline qu’on peut lire parfois. Il y a un vrai schéma derrière tout ça et j’ai bien aimé même si c’est ce n’est pas du tout un coup de cœur.