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« La lettre d’amour interdite » de Lucinda Riley est le dernier roman que j’ai lu en tant que lectrice pour les éditions Charleston. Cette année 2018 aura été pour moi très spéciale et je ne l’oublierai pas de sitôt.
Lucinda Riley est une auteure que j’apprends doucement à connaître grâce à sa saga best-sellers des « Sept soeurs ». J’attendais impatiemment de découvrir cette auteure dans un autre contexte.
Je remercie les éditions Charleston pour cette merveilleuse trouvaille et pour cette année de découvertes incroyables.
1995, Londres.
Quand Sir James Harrison, un des plus grands acteurs britanniques de sa génération, meurt à l’âge vénérable de 95 ans, il laisse derrière lui une famille dévastée, mais aussi un secret si choquant qu’il pourrait faire trembler la royauté – on parle même d’un enfant caché qui changerait l’ordre de succession…
Joanna Haslam, une jeune et ambitieuse journaliste, est chargée de couvrir les funérailles du grand acteur. Toute la jet-set mondiale semble s’être donné rendez-vous pour l’événement, mais sous les paillettes et le glamour, Joanna devine quelque chose de sombre. Une intuition confirmée quand elle apprend l’existence d’une lettre que James Harrison aurait laissée et dont le contenu fait l’objet de toutes les convoitises depuis 70 ans. Mais à mesure que Joanna lève le voile sur les mensonges qui entourent ce mystère, elle comprend qu’elle est devenue la cible de forces cachées dans l’ombre, prêtes à tout pour protéger ce secret…
Sir James Harrisson, un célèbre acteur anglais, meurt laissant derrière lui une famille brisée et un secret qui pourrait anéantir définitivement la monarchie britannique.Joanna Haslam, jeune journaliste de tabloïds, est dépêchée pour couvrir les funérailles de l’acteur. Elle rencontre à cette occasion Rose, une femme âgée, qui semble aux bords de la crise de nerfs en apercevant un homme en fauteuil roulant. Quelques jours plus tard, elle reçoit une mystérieuse lettre qui va la mener sur les traces d’un énorme secret. La lettre est si importante pour la monarchie qu’elle doit rester à tout prix secrète. La recherche de l’exclusivité va conduire Joanna sur des routes sinueuses.
« La lettre d’amour interdite » est un roman qui a été écrit il y a plus de vingt ans par Lucinda Riley. Toutefois, le choc causé par le décès de Lady Di a eu pour conséquence de remiser le manuscrit au placard. Heureusement, ce roman historico-comtemporain qui mélange aussi bien l’action, l’aventure, la romance et le mystère arrive aujourd’hui entre nos mains. Il aurait été dommage de nous priver d’une lecture aussi passionnante.
Joanna, l’héroïne du roman, est une journaliste ambitieuse qui souhaite faire carrière. Lorsqu’elle est mise en possession d’une lettre mystérieuse, elle sent tout de suite qu’il pourrait y avoir une bonne histoire à publier. Joanna mène une enquête minutieuse qui va l’amener à rencontrer Marcus et Zoé Harrisson, les petits enfants de Sir James Harrisson.
Toute l’intrigue autour de lettres d’amour écrites à Sir James Harrisson est vraiment fascinante. À l’image de Joanna, je me suis impliquée émotionnellement dans la recherche de la vérité. L’histoire est parfois très alambiquée, voire exagérée, mais je le pardonne facilement puisqu’il s’agit de fiction.
Lucinda Rilley accroche le lecteur grâce à une tension qui monte toujours plus intensément. Une fois que l’on plonge dans le récit, il est impossible d’en sortir avant de connaître le fin mot de l’histoire. Les rebondissements sont nombreux, inattendus. À chaque instant, je m’attendais à ce que James Bond ou M fassent leur entrée dans l’histoire et règlent le problème de manière définitive.
Si j’ai beaucoup aimé le personnage de Joanna ou de Zoé, j’ai eu plus de difficultés avec le personnage de Marcus et Charles. Ce sont des protagonistes auxquels le lecteur ne peut pas se fier, et il est difficile d’avoir confiance en eux.
« La lettre d’amour interdite » était le dernier manuscrit Charleston que je devais lire en tant que lectrice Charleston 2018. Mon aventure s’achève, et je suis nostalgique. Une chose est sûre, c’est que si je ne lis plus les manuscrits en avant-première, je continuerai à suivre de près les sorties de la maison d’édition.