Dernière ligne de cette année 2018 qui aura été forte en émotion. Le mois de novembre fut plutôt faible en matière de lecture à cause de mes projets personnels qui sont en passe de se concrétiser. Pour autant, il y a une nouvelle direction lié au blog et c’est l’annonce du partenariat avec les éditions Denoël ! Une ME que j’apprécie particulièrement et dont j’ai déjà pu découvrir deux ouvrages.
Novembre se sera 6 livres avec beaucoup d’excellentes lectures et 1 abandon. 3 service presse et 3 prêts de bibliothèque pour pas moins de 2.738 pages lues. Je termine le mois avec deux lectures toujours en cours. Le Nom du vent de Patrick Rothfuss, une belle brique de 800 pages et le tome 2 de la saga jeunesse Shikanoko de Lian Hearn.
A la fois roman noir et roman fantastique, Robert Jackson Bennett signe un roman incroyable à l’écriture cinématographique où une ville sans histoire devient le théâtre d’événement particulier. Proche d’un Stephen King, ou d’un Lovecraft, Robert Jackson Bennett n’a rien à leur envier.
Une fantasy à la plume superbe loin d’être classique qui devrait donner ses lettres de noblesses à la fantasy francophone. Un coup de coeur pour son écriture d’une poésie rare et pour son univers mêlant Tolkien avec Skyrim (on voit mes références…). A la fois mystique et mythologique, Stefan Platteau s’est inspiré de sa propre vie et des mythologies hindoues, scandinaves et celtiques pour créer un univers fascinant.
C’est le moment de préparer sa combinaison spatiale et ses bouteilles d’oxygène en cas de dépressurisation.
Un thriller de hard science dans la veine de Seul sur Mars écrit par Peter Crawdon. Même si certains axes sont du déjà vu, il n’empêche qu’on passe un bon moment de lecture. C’est le premier tome d’une duologie portant le doux nom de Mars Endeavour et dont j’espère voir la traduction du second chez Éditions Denoël prochainement.
Un livre difficile, souvent insoutenable mais nécessaire qui vous prend aux tripes et vous bouscule. Sortir indemne de cette lecture relève du miracle. Âme sensible, s’abstenir. Je ne peux pas dire que ce soit un coup de cœur car le sujet reste difficile à aborder mais il m’a retourné et m’a marqué à coup sûr.
Véritable ascenseur émotionnel, la Symphonie du Hasard continu de nous surprendre et de nous conter l’histoire d’Alice Burn qui tente de concilier vie privé, famille (pour le moins compliqué) et avenir.
Douglas Kennedy est un maître dans son genre !
Un monde envoûtant et onirique, rendant hommage aux plus beaux contes épiques du Japon où créatures du folklore et humain se côtoient. Une réussite qui prend place avant Le Clan des Otori.
Ils vont tuer Robert Kennedy, Marc Dugain
Un livre qui partait bien et reprenait le destin funeste de Robert Kennedy au lendemain de l’assassinat de son frère. Malheureusement, le style de l’auteur ne m’aura pas convaincu. Je réessayerais peut-être plus tard.
De nouvelles entrées dans la PAL mi SF mi condition de la femme. C’est une direction que j’essaye de prendre de plus en plus. Les étoiles sont légion semble être un très bon one shot si j’en crois les différents retours et serait même féministe. Salvation est le pari du mois, car je n’ai encore jamais lu de Peter F.Hamilton bien que Pandore abusée m’attende toujours. J’attends également beaucoup des deux essais féministes, qui devraient me bousculer un peu.