Dans le septième livre de ses aventures, Arte était toujours à Venise et avait l’opportunité de ne pas quitter la ville d’eau. Dans le huitième tome, elle revient enfin à Florence ! Beaucoup ont attendu son retour avec impatience. Dont Léo qui continue pourtant de cacher l’affection qu’il a pour l’artiste. Ce retour s’accompagne de grandes questions concernant le talent d’Arte et, de manière plus générale, l’ambition, la gloire, la richesse, le bonheur. De quoi dépend vraiment ce dernier ?
Si le travail d’Arte pour la famille Fariel lui permet de recevoir nombre de commandes en son nom propre, on ne lui demande cependant que des portraits et, de toute façon, il ne sera jamais confié de scène religieuses à une femme ! L’atelier et le talent de Léo, eux, ne semblent pas à la mesure de ce que la jeune femme peut accomplir. Pour certains, du moins. Ces faits, ces interrogations et les rêves qui les accompagnent se mêlent à la condition féminine éternellement au cœur du manga de Kei Ohkubo. Les dialogues modernes font toujours mouche. Arte est toujours plus volontaire et vivante, si c’est possible. L’humour est comme à chaque fois très présent. Tout cela rend cette nouvelle avancée dans le destin de la grande artiste on ne peut plus dynamique et séduisante.
Présentation de l’éditeur :
Arte est de retour à Florence ! Alors que la jeune artiste retrouve ses marques auprès de Léo, son maître, elle commence à recevoir beaucoup de commandes en son nom propre. Cette reconnaissance croissante la ravit, mais elle ne peut s’empêcher de se poser des questions sur son avenir professionnel. Doit-elle continuer à se perfectionner dans le modeste atelier de Léo ? Ne devrait-elle pas rechercher la gloire ailleurs ? Et d’abord, qu’est-ce que le vrai bonheur pour une artiste peintre ?
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