Julie lit en ligne | Semaine 50

Julie lit en ligne | Semaine 50

Pour la 50 e semaine consécutive (bientôt 52!), je vous propose 5 textes que j'ai lus en ligne dans les derniers jours. Bonne lecture!

Les 5 textes lus en ligne dans les derniers jours

" Ça y est, vous avez décidé de faire votre part pour réduire cette fameuse empreinte carbone. Mais comment? Voici 15 lectures vraiment pas plates pour que les bottines suivent les babines! À offrir ou à s'offrir sans modération. "

Cliquez ici pour lire 15 livres pas déprimants pour passer à l'action climatique.
Cliquez ici pour acheter Notre empreinte cachée de Babette Porcelijn.
Cliquez ici pour acheter Ces arbres qui nous veulent du bien de Laurence Monce.
Cliquez ici pour acheter Voilà la pluie de Mathieu Pierloot & Maria Dek.
Cliquez ici pour acheter Demain le Québec de Diego Creimer, Louise Hénault-Éthier, Karel Mayrand & Julie Roy.
Cliquez ici pour acheter La consommation dont vous êtes le z'héros de Florence-Léa Siry.
Cliquez ici pour acheter Urban training : quand ma ville devient une salle de sport de Sarah Lemarcis.
Cliquez ici pour acheter Faire campagne de Rémy Bourdillon & Pierre-Yves Cézard.
Cliquez ici pour acheter La cuisine de Jean-Philippe de Jean-Philippe Cyr.
Cliquez ici pour acheter Québec : un parcours photographique au cœur de cette province unique du Canada de Mathieu Dupuis.
Cliquez ici pour acheter De l'école au jardin de Karine Lévesque.
Cliquez ici pour acheter Et il foula la Terre avec légèreté de Mathilde Ramadier et Laurent Bonneau.
Cliquez ici pour acheter À fleur de pots de Les Trappeuses.
Cliquez ici pour acheter Le syndrome de l'autruche de George Marshall.
Cliquez ici pour acheter Drawdown : comment inverser le cours du réchauffement planétaire de Paul Hawken & soixante-dix chercheurs.
Cliquez ici pour acheter Le Québec cyclable de Collectif sous la direction de Claude Morneau.

" Le travailleur de rang connaît bien le métier d'agriculteur. Il est familier avec ses nombreuses particularités et contraintes, et est donc en mesure de s'y adapter. "On comprend par exemple qu'il a un horaire atypique, et on peut l'accommoder. On ne s'offusquera pas non plus s'il annule une rencontre en raison du beau temps, parce qu'on sait qu'il a du travail à faire dans les champs!", illustre Mme Bourgoin. "

Cliquez ici pour lire Pourquoi les chats inspirent-ils tant les écrivains ?
Cliquez ici pour acheter Éloge voluptueux du chat de Stéphanie Hochet.

" Or, la commodité est une chose, et la justice en est une autre. Comment une règle qui donne un privilège indu à un genre grammatical associé à la moitié de l'humanité tout en discriminant l'autre moitié sur la base de son sexe pourrait-elle être perçue d'une quelconque manière comme étant juste et équitable? J'ai beau retourner la question dans tous les sens, je ne le vois pas. "

Cliquez ici pour lire Carte blanche | Et si le féminin l'emportait sur le masculin?
Cliquez ici pour acheter Avant l'après : voyages à Cuba avec George Orwell de Frédérick Lavoie.

" En Asie, la mode des librairies autonomes, sans personnel, bat son plein. Alors que la Chine ouvre ce type d'établissements à tour de bras, le Japon a inauguré une librairie d'occasion inédite. Copropriété de 8 personnes, qui ont tous fourni des ouvrages à mettre sur les rayons, la boutique ne dispose pas de libraire : on y accède avec un code, après inscription sur internet. "

Cliquez ici pour lire Japon : une librairie d'occasion ouvre, sans personne derrière le comptoir.

" On ne reproche pas à Kathya Dufault d'avoir dit des choses fausses. On lui reproche d'avoir parlé, point.
Là où elle parlait d'élèves en difficulté qui ne devraient pas être dans des classes ordinaires - un constat si répandu que le nouveau ministre de l'Éducation promet d'agir là-dessus rapidement -, la commission scolaire lui reproche de les avoir décrits... " de façon péjorative ".
Là où elle constate que les directions d'école n'ont pas été en mesure de l'aider quand elle a demandé de l'aide, la commission scolaire lui reproche d'avoir " critiqué publiquement [son] employeur ".
Là où Kathya Dufault m'a décrit ce que j'ai qualifié dans la chronique du 25 octobre de niveau " épouvantablement faible " de ses élèves en français - preuves à l'appui -, la commission scolaire y a vu une tromperie à l'égard du public, une preuve de déloyauté et un manquement à un devoir de confidentialité envers la CSSMI. "

Cliquez ici pour lire Congédier la messagère. ➡ Cliquez ici pour consulter toutes les éditions de Julie lit en ligne. ⬅

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