Auteur : Daryl Delight
Titre : La légende de Spellman
ISBN : 9781549978210
142 pages – Auto édition
Daryl Delight a publié son premier roman début 2017.
Il se considère comme un auteur éclectique qui peut écrire dans tous les genres. Ceci dit, il a un penchant certain pour l’horreur, le fantastique et le thriller.
Il rêve depuis toujours d’être écrivain mais s’était tourné vers le cinéma et l’écriture scénaristique étant un fan inconditionnel du 7éme art. Il a fait quelques études dans l’audiovisuel, mais gardait une place importante pour l’écriture de romans.
source : Amazon
4eme de couverture :
Vous aimez écouter des histoires d’horreur autour d’un feu ?
Trois jeunes garçons se racontent chacun leur tour une histoire sur la légende de Spellman. Une légende qui hante les esprits, depuis que quatre adolescents ont été retrouvés massacrés.
Le premier évoque un tueur en série sanguinaire.
Le second imagine un sorcier avec un pouvoir de résurrection sur les animaux.
Le troisième explique que l’esprit de Spellman se nourrit d’âmes humaines.
Mais attention. Celui qui aura la moins bonne histoire aura un gage !
Un véritable hommage aux films d’horreur !
Slasher, épouvante, gore… Il y a tout ça dans « La légende de Spellman ».
Mon résumé :
On découvre la légende de Spellman, raconté chacun à leur tour par 3 adolescents. Une légende, qu’on pourrais qualifier de légende urbaine, depuis que 4 adolescents ont été découverts mortellement mutilés, d’une façon indescriptible, tellement l’état des corps fait peur à voir.
Le premier présente Spellman, comme un tueur en série, assoiffé de sang. Personnellement je l’imagine assez bien, armée d’une machette avec un manche en bois orné de signes arum-baya. Oui, je sais je regarde trop la TV.
Le second explique que Spellman est accompagné d’un chien diabolique qui aurait dépecé ses victimes.
Mon avis :
Certes, je n’ai pas lu les roman de Daryl Delight dans l’ordre, mais je crois que ce n’est pas plus mal. J’ai tellement « Kiffé » Amalia, que j’étais assez d’adorer la lecture de la légende de Spellman. Je dirais que l’écriture est douce, simple, sans fioriture. Ca se lis sans fin.