L’Empereur de Paris

Quelques années après s’être échappé une énième fois du bagne, Vidocq fait escale à Paris en tant que fripier. Quand il est reconnu et arrêté pour un meurtre qu’il n’a pas commis, il ramène lui-même les coupables au directeur de la sûreté. Il établit alors un marché avec celui-ci : attraper les crapules qui envahissent les rues de la capitale et qui n’ont pas de secrets pour lui en échange d’une lettre de grâce. Pour cela, Vidocq réunit une équipe faite d’un duc déchu, d’un ancien prisonnier et de la belle Annette. Les arrestations sont rapidement nombreuses. Mais le rôle entretenu par Vidocq et les siens ne plaît guère à la police et encore moins à la pègre…

L’empereur de Paris est d’abord un film de Jean-François Richet écrit par Eric Besnard. Ce dernier a lui-même scénarisé l’adaptation en bande dessinée. Les dessins, eux, sont de Fabrizio Fiorentino. Cette collaboration permet au lecteur de revivre l’aventure proposée à l’écran. Quelques coupes ont forcément dû être faites mais l’ambiance, les messages, l’époque, les personnages sont identiques à ceux nés pour cette nouvelle histoire, ce souffle nouveau offert à Vidocq et à son époque. L’intrigue, sombre et sanglante, est donc également aussi captivante à suivre ici.

L’Empereur de Paris

Présentation de l’éditeur :
Sous le règne de Napoléon, François Vidocq, le seul homme à s’être échappé des plus grands bagnes du pays, est une légende des bas-fonds parisiens. Laissé pour mort après sa dernière évasion spectaculaire, l’ex-bagnard essaye de se faire oublier sous les traits d’un simple commerçant. Son passé le rattrape pourtant, et, après avoir été accusé d’un meurtre qu’il n’a pas commis, il propose un marché au chef de la sûreté : il rejoint la police pour combattre la pègre, en échange de sa liberté. Malgré des résultats exceptionnels, il provoque l’hostilité de ses confrères policiers et la fureur des criminels qui ont mis sa tête à prix…

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