Il faut bien l'admettre, à chaque fois que j'entends parler des gemmes du pouvoir, et qu'on me propose une saga cosmique où quelqu'un va s'emparer des six pierres précieuses et devenir une entité toute-puissante, je bondis sur ma chaise, et j'achète tout ce qui concerne cette aventure. Voilà un peu comment je me suis fait avoir.
Avec Infinity Wars, il faut bien l'admettre, nous sommes loin, très loin de la qualité des grandes sagas de Jim Starlin dans les années 90. Peu de chance qu'on en fasse un film mythique au cinéma dans trente ans.
Si la version française, chez Panini, démarre en kiosque ce mois de janvier, les Américains ont pu lire cette semaine un petit épilogue, intitulé sobrement Infinity. Les Américains, mais aussi les Français qui lisent la VO, comme c'est mon cas. Je suis un peu embêté au moment de faire cette review, car il y a tellement peu de matière à l'intérieur, que ça pourrait se résumer en une phrase ou deux. En gros, Adam Warlock a rendu aux pierres leur liberté, en les dotant d'une espèce de conscience, leur permettant ainsi de choisir le prochain destinataire. Les pierres sont parties dans l'espace, mais une est restée sur Terre, et on découvre dans ce numéro un condamné à mort (Hector Bautista), pourtant innocent, qui passe sa dernière nuit en prison, avant d'être hâtivement exécuté par la justice américaine. C'est gros comme une maison, c'est lui qui va recevoir le joyau du temps! Pour le reste, deux trois petites choses par-ci par-là, et une dernière page qui fait la transition avec une série complètement barrée à venir, qui nous promet du Wolverine alternatif et cosmique. On peut parier, Gerry Duggan n'y croit même pas, alors je vous laisse imaginer le lecteur. Côté dessin, Marvel a eu recours à un de ses employés les plus fidèles et prolixe, Mark Bagley. Avec lui on est rarement déçu, mais aussi rarement transcendé; comme toujours ses personnages principaux ont un petit côté Peter Parker, et ceci depuis bien longtemps. Ce n'est pas laid, ce n'est pas exceptionnel, c'est juste complètement dispensable, et n'a d'autre utilité que d'accompagner l'actualité cinématographique depuis l'an passé. Likez notre page Facebook, venez parler comics
Si la version française, chez Panini, démarre en kiosque ce mois de janvier, les Américains ont pu lire cette semaine un petit épilogue, intitulé sobrement Infinity. Les Américains, mais aussi les Français qui lisent la VO, comme c'est mon cas. Je suis un peu embêté au moment de faire cette review, car il y a tellement peu de matière à l'intérieur, que ça pourrait se résumer en une phrase ou deux. En gros, Adam Warlock a rendu aux pierres leur liberté, en les dotant d'une espèce de conscience, leur permettant ainsi de choisir le prochain destinataire. Les pierres sont parties dans l'espace, mais une est restée sur Terre, et on découvre dans ce numéro un condamné à mort (Hector Bautista), pourtant innocent, qui passe sa dernière nuit en prison, avant d'être hâtivement exécuté par la justice américaine. C'est gros comme une maison, c'est lui qui va recevoir le joyau du temps! Pour le reste, deux trois petites choses par-ci par-là, et une dernière page qui fait la transition avec une série complètement barrée à venir, qui nous promet du Wolverine alternatif et cosmique. On peut parier, Gerry Duggan n'y croit même pas, alors je vous laisse imaginer le lecteur. Côté dessin, Marvel a eu recours à un de ses employés les plus fidèles et prolixe, Mark Bagley. Avec lui on est rarement déçu, mais aussi rarement transcendé; comme toujours ses personnages principaux ont un petit côté Peter Parker, et ceci depuis bien longtemps. Ce n'est pas laid, ce n'est pas exceptionnel, c'est juste complètement dispensable, et n'a d'autre utilité que d'accompagner l'actualité cinématographique depuis l'an passé. Likez notre page Facebook, venez parler comics