Après l’excellent premier tome de Jack Wolfgang, les auteurs Stephen Desberg et Henri Reculé remette le couvert avec Le Nobel du Pigeon.
A la CIA, certains agents sont plus spéciaux que d’autres…
En relisant mon billet sur le premier tome, je me suis rendu compte que je l’ai lu après un gros livre (cf Les lames du cardinal). Un signe peut-être puisque Le Nobel du pigeon passe juste après Le Signal de Maxime Chattam. Un bon moyen de souffler après 740 pages et rire un bon coup.
Dans Le Nobel du pigeon, nous retrouvons notre loup préféré toujours dans son rôle de critique culinaire / agent de la CIA façon James Bond, le costard en prime. Cette fois-ci, Jack se retrouve avec une sale affaire, une cigogne épiscopale meurtrière de futurs Prix Nobel. Mêlant à la fois humour, scène d’action et drague invétéré, ce deuxième tome reste dans la lignée du premier avec un bestiaire encore plus riche. J’aime particulièrement ce mélange d’humains et d’animaux, égaux ou en tout cas proche de l’être qui n’évitent pas les préjugés raciaux entre eux et donne une vraie réalité à l’histoire (ex : Un étourneaux stupide).
Un bon moment de lecture qui offre le mérite de pouvoir être lu plusieurs mois après le précédent sans perdre le fil. Mention spécial au petit caméo d’un personnage bien connu dont je vais taire le nom afin de garder la surprise.
J’ai un petit faible pour les bandes dessinées sur le thème de l’animal humanisé et celle-ci reste avec Black Sad une de mes préférés que je vous conseille vivement.
Pour lire mon retour sur le premier tome
Bonus : L’interview d’Henri Reculé pour Branches Cultures
62 pages
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